En 1973, alors que le pays venait de battre sa propre monnaie, je rentrai un soir d’une excursion hors de la ville de Nouakchott avec un groupe d’amis lorsqu’une patrouille de la Garde nationale, dirigée par feu Soueidatt Ould Weddad, paix à son âme, nous intercepta. Embarqués de force dans leurs véhicules, nous sommes conduits à la caserne la plus proche.
A peine arrivés au seuil de l’entrée principale, quelqu’un s’écria : « Allez ! Au comite d’accueil !” et Quel accueil?! Un déluge de coups de poing, de matraques, et de gourdins s’abat sur tout nouveau venant. Lire la suite →