Dès qu’un édile est malmené et de surcroît dans l’hémicycle, la démocratie en
pâtit. Du jamais vu ! Ainsi, le 24 janvier après 17heures, la députée Mariem
Mint Cheikh est expulsée, manu militari, de l’Assemblée nationale. Des vigiles
zélés, sous les ordres du président de la chambre, le tout-puissant général
Ould Meguett, l’ont sortie par la contrainte.
On le savait et s’y attendait : Les interventions récurrentes de Mariem
Mint Cheikh dérangent le meneur du Parlement. Lire la suite