Le message de KINROSS/TASIAST à ses employés du 25/02/2017 reconnait de facto l’utilisation abusive de la main d’œuvre étrangère en donnant des chiffres précis soit 276 expatriés.
Ce communiqué, sans équivoque, démontre avec force l’inquiétude de la CLTM sur les violations multiples de la législation nationale par KINROSS/TASIAST en la contournant par le tâcheronnat perdant de vue la loi N°2013-021 du 04/07/2013 modifiant et abrogeant certaines dispositions de la loi n° 2004-017 du 06/07/2004 portant Code du travail qui supprime cette activité dans tout le territoire national. Continuer la lecture →

Le président d’Ira-Mauritanie, Biram Ould Dah Ould Abeid, prend une longueur d’avance dans les annonces à la future présidentielle de 2019 en Mauritanie, peut-on lire dans un entretien cité par un média africain (magazine newafrican).
Amnesty internationale dénonce une détérioration de la situation des droits de l’Homme en Mauritanie. La condamnation à mort d’un blogueur et les arrestations des militants antiesclavagistes figurent parmi les points décriés par le rapport de l’ONG.
Les délégués du personnel de Tasiast Kinross informent l’opinion publique mauritanienne des violations des lois en vigueur en Mauritanie.
Un an après l’adoption par le Parlement de la loi qui fait de l’esclavage un crime contre l’humanité, et qui sanctionne de fortes peines les auteurs de cette pratique ancestrale, quel bilan dresser de l’esclavage en Mauritanie?
En acceptant l’invitation du Conseil Représentatif des Institutions juives de France (CRIF), l’ambassadrice de la Mauritanie en France, Aïchetou Mint M’Heiham, vient confirmer des rumeurs qui ont toujours couru sur les relations cachées de la Mauritanie avec Israël, via des rencontres secrètes dans la capitale sénégalaise, Dakar.

Elle dérange par son franc-parler, sa témérité et par son anticonformisme. Elle, c’est Mekfoula Bent Brahim la rebelle, Mekfoula l’activiste des droits de l’homme. L’une des rares femmes à ramer à contre-courant des préjugés sociaux, de l’obscurantisme religieux et des pratiques sociales avilissantes qui continuent à peser sur la femme mauritanienne, l’empêchant de s’assumer comme un être jouissant de tous ses droits.