
On est bien entré dans la saison des candidatures à la présidentielle. Après l’annonce presque officielle de la candidature de O. Ghazouani pour défendre les couleurs de la majorité présidentielle, d’autres candidats, au sein de l’opposition, seraient sur le point d’annoncer leur engagement dans la course à la présidentielle.
Parmi ces postulants, le nom de Cheikh O. Hanena, qui se présente toujours comme président du Sénat, est de plus en plus cité. Certains milieux proches de lui annoncent une déclaration imminente dans ce sens.
Issu du grand Charg et loin d’être novice en politique, l’homme représente désormais ces sénateurs qui ont eu le courage de dire Non et de s’opposer aux projets de Aziz en rejetant ses amendements constitutionnels. Il est à l’aise, aussi bien au sein de l’opposition comme auprès de la Majorité.
Source: Le Calame

L’opposant mauritanien Biram Ould Dah Abeid a annoncé mercredi qu’il se présenterait à l’élection présidentielle prévue en juin, alors que le pouvoir a confirmé la probable candidature du ministre de la Défense, après deux mandats de Mohamed Ould Abdel Aziz.
Le ministère de l’intérieur et de la décentralisation a dévoilé jeudi la liste des secrétaires généraux des conseils régionaux. C’est ainsi que Diack Abdel Razak a été nommé secrétaire général du conseil régional du Hodh Chargui et Ahmed Jiddou O. Cheikh nommé pour le conseil régional du Hodh El Gharbi.
Certaines sources ont déclaré au journal « Mayadin » que les présidents des conseils régionaux mauritaniens ont été invités à exécuter une décision, sans possibilité de la contourner .
La première session parlementaire ordinaire 2018 – 2019 a été clôturée jeudi soir à Nouakchott au niveau de l’Assemblée nationale.

Invisibles ! Quand les présidents Ibrahima Moctar Sarr et Thiam Samba, rejoints depuis quelques temps par le professeur et avocat Lô Gourmo, disaient que les ressortissants de la Vallée étaient invisibles dans les différentes administrations mauritaniennes et que cela résultait d’une politique d’apartheid menée par le pouvoir, ce dernier niait les faits et accusait les intéressés de fossoyeurs de l’unité nationale. 
Depuis quelques temps, une certaine force est en train de naître. Dans les rues de la capitale comme dans l’intérieur du pays. Il ne s’agit pas de forces politiques, mais de forces sociales dans lesquelles se retrouvent les élèves, les étudiants, les diplômés chômeurs, entre autres laissés pour compte.
C’est en février 2017 que l’assemblée générale du Conseil des étudiants STURA a vu son initiative acceptée par toutes les facultés de la KUL (Koninklijke Universiteit Leuven).