Le 09/11/2019 – Taqadoum
Le président d’un parti mauritanien met en garde contre le risque d’une guerre civile attisée par les inégalités généralisées entre les citoyens en matière d’accès à l’éducation, aux recrutements et aux marchés. Continuer la lecture

Certains journaux étrangers notamment sénégalais se sont fait l’écho d’informations mensongères selon lesquelles l’affaire du vol des 4500 cartouches d’AK-47 dans une caserne de l’armée sénégalaise ferait peser des suspicions sur des opposants mauritaniens, accusés selon eux par Nouakchott d’organiser un putsch depuis la capitale Sénégalaise.
Il a été procédé, vendredi à Nouakchott, à l’installation des plateformes multisectorielles de lutte contre les violences à l’égard des femmes et des filles dans les moughataas de Darnaïm, Sebkha et El Mina. 

Les groupes armés n’ont aucune existence en Mauritanie et les munitions saisies étaient destinées aux des clubs de tir à la cible (ministère de l’intérieur).
Biram Dah Abeid, 54 ans, militant anti-esclavagiste mauritanien qui a reçu, en 2013, le prestigieux prix des Nations unies pour les Droits de l’homme et qui est arrivé second à la présidentielle de juin dernier dans son pays, est l’objet d’une nouvelle attaque au Sénégal.
Dans un article intitulé « Visé par Nouakchott dans l’affaire du vol de munitions de guerre à Dakar : L’opposant mauritanien Biram Dah Abeid, risque-t-il gros? », le site sénégalais d’informations dakaractu n’y va pas avec le dos de la cuillère.