Ma source principale est l’Agence France Presse, bureau de Nouakchott, puisque dans la semaine du putsch, les dépêches lui étant antérieures, sont devenues inaccessibles, à partir du site de l’Agence Mauritanienne d’Information. BFF
Le 20 Septembre 2005, les services du Premier ministre Sidi Mohamed Ould Boubacar publient l’adhésion de la Mauritanie à « l’initiative de transparence des industries extractives », l’E.I.T.T.I. lancée en Septembre 2002 à l’occasion du sommet mondial sur le développement durable tenu à Johannesburg .
« L’application des principes de cette initiative permettra la transparence dans l’utilisation des revenus tirés des industries minières et pétrolières de la Mauritanie » selon la primature qui souligne « le souci du gouvernement mauritanien de garantir la transparence totale dans l’exploitation des ressources minières et pétrolières du pays et l’emploi des ressources financières qui en sont issues ».
Il s’agit bien « du processus engagé au lendemain du changement du 3 août visant à bâtir un Etat de droit, à asseoir une véritable démocratie et à ancrer les bases d’une gestion économique saine et transparente ». Le régime déchu avait participé aux réunions en Afrique du sud, mais n’avait pas adhéré à l’initiative.
L’enjeu est alors connu : les 12 millions de tonnes de minerai de fer extraites chaque année de la Kedia d’Idjill et des guelbs, l’imminent début des productions de pétrole et de gaz. Les accusations de corruption et de détournements en tous genres avaient cours depuis des années, et du fondement…
Faisant le bilan des quarante-trois premiers jours de son gouvernement, Sidi Mohamed Ould Boubacar, fait lui-même et de surcroît le point d’une situation économique très difficile.
C’est le résultat des « engagements considérables pris au nom de l’Etat sous l’ancien régime, d’un déficit budgétaire et d’une inflation très élevée … Les méthodes de gré à gré dans la passation et l’attribution des marchés publics étaient les faits marquants de cette crise économique multiforme avec les détournements et la mauvaise gestion des finances publiques assortis d’une corruption quasi-généralisée…
Nous sommes actuellement en train de faire le diagnostic et le listing des deniers publics détournés en vue de restaurer les équilibres de nos finances ». Le plus grave est la détérioration des relations de la Mauritanie avec les bailleurs de fonds en raison du « dépassement flagrant des lois et normes internationales de gestion économique et financière ».
Une Inspection générale d’Etat (I.G.E.) est créée – le même 20 Septembre – faisant suite à l’établissement par le C.M.J.D., dès le 7 Août, d’un comité interministériel sur la bonne gouvernance. Elle contrôlera les fonctionnements administratifs, financiers et comptables des services publics de l’Etat, des collectivités locales, des établissements publics et société à capitaux publics ainsi que les organismes privés bénéficiant du concours financier de l’Etat.
Dès la fin d’Août, deux agents de haut niveau à la Banque centrale de Mauritanie ont été inculpés pour avoir détourné plus de 5 millions d’euros.
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Le 20 Septembre 2008, les militaires portés disparus depuis l’attaque d’une patrouille, le 14 Septembre précédent, dans la région de Tourine, au nord du pays, sont retrouvés : égorgés ! Un communiqué censément d’Abdelmalek Droukdel, alias Abou Mossaab Abdel Wedoud, venait de revendiquer, le 15, l’attentat et les crimes .
Douze soldats avaient été faits prisonniers et trois véhicules tous terrains enlevés. L’attaque a été la plus meurtrière que la Mauritanie ait subie dans les trois dernières années, c’est-à-dire depuis l’ « affaire de Leimgheity », elle-même jamais vraiment éclaircie.
Le drame intervient paradoxalement alors que la nouvelle junte, au pouvoir depuis six semaines, s’était présentée – depuis des mois par le général Mohamed Ould Abdel Aziz qui s’était même rendu à Paris pour ce faire – comme le rempart sécuritaire le plus sûr au lieu d’un président supposé laxiste depuis le quadruple assassinat perpétré sur la route de l’Espoir..
Les corps, soi-disant méconnaissables et retrouvés décapités… au cours des opérations de ratissage, à une trentaine de kilomètres au nord-est de Tourine (localité située à 70 kilomètres de Zouerate), sont ramenés à Nouakchott sans que les cercueils soient ouverts.
Mohamed Ould Moine fait appel à la communauté internationale pour aider le pays à « juguler le phénomène du terrorisme qui vient de frapper… c’est un problème grave qui se pose à tous les pays de la planète, c’est pourquoi nous avons besoin de la conjugaison des efforts de tous ». Une vingtaine de « salafistes » auraient été aussitôt écroués à Nouakchott.
Le ministère de la Défense communique à son tour : « l’embuscade tendue dimanche par une bande armée du G.S.P.C. contre une patrouille militaire a coûté la vie à douze martyrs… Ils ont sacrifié leur vie et sont tombés au champ d’honneur pour sauver le pays d’une opération terroriste de grande envergure que l’organisation se préparait à exécuter ».
Ces présentations laissent aussitôt sceptiques. Le communiqué a été posté depuis Beyrouth sur un site inconnu des spécialistes (www.akhbarmauritania.info) et ouvert le 26 Août précédent. Son libellé motive le massacre par « l’emprisonnement et la torture » en Mauritanie de jihadistes par « les apostats ayant fait allégeance aux juifs et aux croisés », ce qui paraît hors de tout contexte.
Sauf à appuyer la prétention des putschistes d’être plus résolus que le président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, dans « une lutte sans merci contre le terrorisme sous toutes ses formes et quelles que soient ses causes ». Le dispositif sécuritaire avait, de fait, été renforcé à Nouakchott-même, au motif « de l’entrée récente en Mauritanie de combattants islamistes ». Dans un courrier écrit en prison le 28 Août, le chef présumé de la branche mauritanienne d’A.Q.M.I.
(El Khadim Ould Esseman ) avait en réponse demandé aux musulmans de ne pas reconnaître « le régime mécréant » issu du coup militaire … suivant ainsi un communiqué daté du 10 Août, Abdelmalek Droukdel, chef lui aussi présumé d’A.Q.M.I. dans son ensemble, affirmant – contre l’évidence du moment – que les putschistes avaient probablement reçu « l’approbation de l’Amérique, de la France et d’Israël ».
D’autre part, la zone de Tourine est située dans un oued profond au cœur d’une région accidentée où les militaires évitent généralement de se rendre pendant la nuit. Pourquoi la patrouille s’y était-elle aventurée et avait eu besoin d’un guide « civil » ? « Composée de 22 à 23 militaires (elle était) en mouvement de patrouille ordinaire sur la frontière nord ».
Dès le lendemain du drame, les députés hostiles au putsch,, tel Khalil Ould Teyeb, accuse « les dirigeants de l’armée (qui) ont laissé les frontières sans défense face aux groupes armés et ont fait venir à Nouakchott les militaires pour la défense de leur pouvoir ».
En revanche, le contexte politique est clair. La veille de la macabre découverte, le gouvernement formé par les putschistes, qui avait engagé sa responsabilité le 17 par une déclaration de politique, et bénéficié d’un vote singulier.
Présidant la séance de l’Assemblée nationale faute que Messaoud Ould Boulkheir, président constitutionnellement investi, accepte d’œuvrer sous l’emprise des militaires, Al Arbi Ould Jedeine proclame : « il n’y a pas de vote contraire, donc l’Assemblée nationale accorde sa confiance au gouvernement ».
Moulaye Ould Mohamed Laghdaf remercie pour ce vote à bulletins secrets (le Rassemblement des forces démocratiques, présidé par Ahmed Ould Daddah, a voté « neutre », faute de l’assurance que les militaires ne participeront à l’élection présidentielle anticipée) qui lui permet « d’aller à Bruxelles pour les consultations avec l’Union Européenne avec un esprit serein et fort de la légitimité qui est du côté des représentants du peuple et non ailleurs ».
De fait, l’ambassadeur de France (pays présidant l’Union pour le semestre en cours), Michel Vandepoorter, vient d’annoncer que le général Mohamed Ould Abdel Aziz était invité à venir s’expliquer, au titre de l’article 96 du traité de Cotonou .
Le 14 Septembre, la présidence du conseil de l’Union européenne avait souligné « la nécessité de travailler à une sortie de crise, avec l’accord des différentes parties mauritaniennes » selon une déclaration initiale rappelant « la nécessité d’une remise en liberté immédiate du président Abdallahi et d’un retour au fonctionnement régulier des institutions » à quoi avait répliqué dans l’heure une résolution de l’Assemblée nationale, dite « feuille de route de transition » proposant « un délai de douze à quatorze mois » pour l’organisation d’une élection présidentielle, marquant « le rétablissement de l’ordre constitutionnel normal » .
Le Front national pour la défense de la démocratie (F.N.D.D.) conteste absolument ce processus et ce texte : « C’est une session pirate qui a produit un papier illégal et sans effet ».
Son porte-parole, le député U.F.P. Moustapha Ould Bedredine, réaffirme que la seule solution demeure « le départ des militaires du pouvoir et le rétablissement du président Sidi Ould Cheikh Abdallahi dans ses fonctions.
La résolution « n’apporte rien de nouveau sauf une reconnaissance par ses auteurs de l’existence d’une véritable crise dont les putschistes sont les seuls responsables, et non un blocage des institutions dont se serait rendu responsable le président Sidi »
Le drame de Tourine « tombe à pic » pour raviver une union nationale autour des forces armées et de leur chef putschiste, et même faire présenter par l’Union Européenne, le 21 Septembre, « ses plus sincères condoléances à la Mauritanie et à son armée ainsi qu’aux familles des victimes de l’attaque de Tourine » et surtout « sa solidarité dans la lutte contre le terrorisme ». Un deuil national de trois jours est décrété : réjouissances publiques interdites, diffusion en continu du Coran à la télévision, à la radio.
Ould Kaïge
– déjà nommé Premier ministre à l’avènement constitutionnel du colonel Maaouyia Ould Sid’Ahmed Taya, le 18 Avril 1992 (ce dernier précédemment président auto-proclamé du Comité militaire de salut national depuis le 12 Décembre 1984 puis élu président de la République, le 24 Janvier 1992 dans des circonstances contestées), Sidi Mohamed Ould Boubacar qui avait été ministre des Finances du C.M.S.N. et négocié avec le F.M.I., est de nouveau le chef du gouvernement que vient de nommer (7 Août 2005) le Conseil militaire pour la justice et la démocratie, auteur du coup du 5 Août ayant mis fin à une dictature de plus de vingt ans.
Ce gouvernement – de transition démocratique – est ainsi composé : Nouakchott, 10 août 2005 (AMI) – La Présidence du Conseil militaire pour la justice et la démocratie communique par décret en date de ce jour est nommé:
-Ministre des Affaires étrangères et de la coopération: Ahmed Ould Sid’Ahmed; – Ministre de la Justice: Mahfoudh Ould Bettah;
-Ministre de l’Intérieur, des postes et télécommunications: Mohamed Ahmed Ould Mohamed Lemine;
-Ministre des Finances: Abdellahi Ould Souleymane Ould Cheikh Sidiya;
-Ministre des Affaires Economiques et du développement: Mohamed Ould Abed;
-Ministre des Pêches et de l’économie maritime: Sidi Mohamed Ould Sidina;
-Ministre de l’Equipement et des transports: Bâ Ibrahima Demba;
-Ministre de la Culture, de la jeunesse et des sports: Mehla Mint Ahmed;
-Ministre du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme: Bâ Abderrahmane;
-Ministre de l’Energie et du pétrole: Mohamed Ali Ould Sidi Mohamed;
-Ministre de l’Hydraulique: Ely Ould Ahmedou;
-Ministre des Mines et de l’Industrie: Mohamed Ould Ismael Ould Abeidna;
-Ministre du Développement rural et de l’environnement: Gandega Silly;
-Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique: Naji Ould Mohamed Mahmoud;
-Ministre de l’Enseignement fondamental et secondaire: Cheikh Ahmed Ould Sid’Ahmed;
-Ministre de la Fonction publique et de l’emploi: Mohamed Ould Ahmed Ould Jek;
-Ministre de la Santé et des affaires sociales: Saadna Ould Behaide;
-Ministre changé de l’Alphabétisation, de l’orientation islamique et de l’enseignement originel: Yahya Ould Sid’El Moustapha;
-Ministre de la Communication: Cheikh Ould Ebbe;
-Secrétaire d’Etat chargée de la Condition féminine: Nebghouha Mint Tlamid;
-Secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargée des Technologies Nouvelles: Maniana Sow Mohamed Deyna;
-Secrétaire d’Etat chargé de l’Etat civil: Abdi Ould Horma;
-Secrétaire d’Etat chargé de l’Union du Maghreb Arabe: Bismillah Elih Ould Ahmed;
-Secrétaire général du gouvernement: Bâ Seydou Moussa.
– Agence France Presse Nouakchott, 20 Septembre 2005 . 15 heures 56
– 26 Août au 4 Septembre 2002
– Agence France Presse Nouakchott, 20 Septembre 2005 . 22 heures 45
– Agence mauritanienne d‘information, 20 Septembre 2005 & Agence France Presse Nouakchott, 20 Septembre 2005 . 20 heures 38
– Agence France Presse Nouakchott, 20 Septembre 2008 . 20 heures 14
– 4 Juin 2005, attaque à l’aube de la base militaire de Lemgheity : 15 mauritaniens et 5 assaillants sont tués, 117 blessés ; le ministre de la Défense, Baba Ould Sidi, met en cause le Groupe salafiste pour la prédication et le combat qui, le 6, revendique sur internet l’attaque : « cette opération a été menée pour venger nos frères emprisonnés par le régime mécréant » – le 8, plus de 50.000 personnes défilent à Nouakchott en réprobation de cette attaque, unanimement condamnée par tous les partis politiques
– le Haut Conseil d’Etat, titre que s’est attribué la junte du 6 Août 2008, a nommé Moulaye Ould Mohamed Laghdaf Premier ministre, le , et celui-ci a composé un gouverrnement ainsi (source A.M.I.) :
Ministre de la justice : Amadou Tidjane Bal,
Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération : Mohamed Mahmoud Ould Mohamedou,
Ministre de la Défense Nationale : Mohamed Mahmoud Ould Mohamed Lemine
Ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation : Mohamed Ould Maaouya
Ministre des Affaires Economiques et du Développement : Sidi Ould Tah
Minsitre des Finances : Sid’Ahmed Ould Raiss
Ministre de l’Education nationale: Ahmed Ould Bah
Ministre des Affaires Islamiques et de l’Enseignement Originel : Othmane Ould Cheikh Ahmed Aboul Maali
Ministre de la Fonction Publique, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle : Hacen Ould Limam Ould Amar Jowda
Ministre de la Santé: Mohamed Abdellahi Ould Siyam
Ministre du Pétrole et de l’Energie : Die Ould Zeine
Ministre des Pêches et de l’Economie Maritime : Hacenna Ould Ely
Ministre du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme : Bamba Ould Dermane
Ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de l’Aménagement du Territoire : Sy Adama
Ministre du Développement Rural : Messaouda Mint Baham
Ministre de l’Equipement et des Transports : Camara Moussa Seydi Boubou
Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement: Mohamed Lemine Ould Aboye
Ministre de l’Industrie et des Mines : Mohamed Abdellahi Ould Oudaa
Ministre de la Culture, de la jeunesse et des Sports : Sidi Ould Samba
Ministre de la Communication et des Relations avec le Parlement : Mohamed Ould Mohamed Abderrahmane Ould Moine
Ministre des Affaires Sociales, de l’Enfance et de la Famille : Selama Mint Cheikhna Ould Lemrabott
Ministre Délégué auprès du Premier Ministre chargé de l’Environnement et du Développement Durable : Mohamed Ould Ahmed Salem
Secrétaire d’Etat chargé de la Modernisation de l’Administration et des TICs: Sidi Ould Mayouf
Secrétaire d’Etat chargé des Affaires Maghrébines : Mohamed Abderrahmane Ould Mohamed Ahmed
Secrétaire Général du Gouvernement : Bâ Ousmane
Commissaire aux Droits de l’Homme, à l’Action Humanitaire et aux Relations avec la Société Civile : Mohamed Lemine Ould Dadde
Commissaire à la Sécurité Alimentaire : Mohamed Ould Mohamedou
Commissaire à la Promotion des Investissements : Bâ Houdou
– Agence France Presse Nouakchott, 20 Septembre 2008 . 22 heures 52
– Groupe salafiste de prédication et de combat, rebaptisé A.Q.M.I. – wikipédia à jour au 28 Juin 2017
Il a été fondé en 1998 par Hassan Hattab6 lors de la guerre civile algérienne ; il se trouvait alors en dissidence du Groupe islamique armé (GIA), qu’il jugeait trop sanguinaire, depuis l’année précédente. Le GIA avait lui-même été fondé à partir des groupes de l’insurrection islamiste des années 1990.
Le nouveau groupe est composé de 300 à 800 personnes au maximum, essentiellement dans l’est du pays, mais il est aussi présent dans le centre et le sud. Il se démarque du GIA en élargissant la lutte au domaine international : France, Mauritanie.
Son chef ne voulait cibler alors que les représentants du Taghout, l’État algérien. . . .
Le 25 janvier 2007, le GSPC change de nom et devient Al-Qaida au pays du Maghreb islamique (AQMI). Ce changement aurait obtenu l’approbation d’Oussama ben Laden . . .
Hormis les titres de son discours (État islamique, califat…) et le mot salafiste qui apparait dans le nom du groupe, le GSPC ne fait aucune référence à des oulémas. En d’autres termes, il n’est pas en mesure, de fournir une quelconque fatwa, justifiant ses actions terroristes.
Plus que cela, les chouyoukh d’Arabie saoudite, représentants du courant salafiste pur et dur, dénoncent les actions de cette organisation.
C’est, probablement en raison de cette incapacité à trouver des soutiens idéologiques auprès d’oulémas – tout en soutenant la résistance en Irak, en Palestine et au Liban, Youssef Al-Qaradâwî a fermement condamné les attaques perpétrées à Alger qu’il qualifie de terroristes – que le GSPC est allé trouver refuge chez Al-Qaida, acceptant de lui sous-traiter la terreur en Algérie et en France.
– cette appellation motive l’adjonction de deux bandes rouge-sang posées horizontalement au haut et au bas du drapeau nationale, adoptée par referendum le 15 août 2017, sans qu’il soit clair que ces martyres soient le fait de la pénétration française en Mauritanie, ou des massacres pendant les « années de braise », ou de cette attaque censément revendiquée par l’A.Q.M.I.
– Agence France Presse Nouakchott, 18 Septembre 2008 . 20 heures 29
– Agence France Presse Nouakchott, 15 Septembre 2008 . 16 heures 40
– Agence France Presse Nouakchott, 16 Septembre 2008 . 03 heures 12 et 15 heures 31
– Agence France Presse Nouakchott, 15 Septembre 2008 . 21 heures
– Agence France Presse Nouakchott, 15 Septembre 2008 . 21 heures 03
– Agence France Presse Nouakchott, 19 Septembre 2008 . 23 heures 07
– le traité de Cotonou, signé le 15 Décembre 2000, entre l’Union européenne et les Etats d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, prévoit en son titre II (La dimension politique) un dialogue politique (article 8 avec toute la souplesse nécessaire) et considère comme des éléments essentiels de l’accord (article 9) § 1 les droits de l’homme ; § 2 la démocratisation, la protection des libertés fondamentales : « le respect des droits de l’homme, des principes démocratiques et de l’Etat de droit, sur lesquels se fonde le partenariat ACP-UE, inspirent les politiques internes et internationales des parties et constituent les éléments essentiels du présent accord » et § 3 la gestion transparente et responsable des ressources = élément fondamental
– Agence France Presse Nouakchott, 18 Septembre 2008 . 20 heures 38
– Agence France Presse Nouakchott, 15 Septembre 2008 . 16 heures 55
– Agence France Presse Nouakchott, 21 Septembre 2008 . 21 heures 44
– Agence France Presse Nouakchott, 21 Septembre 2008 . 21 heures 44