PARCE QU’EN MAURITANIE, C’EST LES MILITANTS ANTI-ESCLAVAGE QU’ON MET EN PRISON
Pourquoi Moussa et Abdallahi restent-ils en prison, loin de leurs familles et avocats ?
Parce qu’ils ont été torturés lors de leur garde à vue et que ces traces doivent disparaître pour empêcher tout témoignage ?
Parce que le gouvernement mauritanien, en proie aujourd’hui avec des mouvements contestataires de tous bords, entend garder des otages pour négocier ? Parce que l’expérience de la prison finit par éroder l’engagement de certains qui, libérés, quittent la contestation ?
Comme d’autres sections du mouvement de l’IRA, notamment en Europe et aux Etats-Unis, IRA Mauritanie en Belgique n’oublie pas les activistes dont la lutte non violente a pour but l’éradication effective d’un esclavage ancestral, la fin d’un racisme persistant envers les Noirs Mauritaniens, une justice indépendante et l’obligation pour la République islamique de Mauritanie de respecter les conventions internationales relatives aux Droits humains qu’elle a signées.
SAMEDI 20 MAI, A BRUXELLES, ON MARCHE POUR LA LIBÉRATION DE NOS CAMARADES 11H00 PORTE DE NAMUR (SQUARE DU BASTION).
Bruxelles, 14 mai 2017
Source : Indymedia (Belgique)