SenXibaar – Aboli en 1981, l’esclavage frappe encore 150 000 Mauritaniens selon l’ONG Walk Free Foundation.
Ces esclaves « travaillent sans repos, sans salaire et sont violés nuit et jour parce que pour le maître, violer une esclave, c’est un droit », dénonce Abdou Babou, membre de l’Ira (initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste).
Malgré les risques qu’ils encourent, les membres de ce mouvement militent contre l’esclavage. Leur arme « la plus redoutable » ? Les réseaux sociaux.