Nous demandons publiquement au président des Flam , Monsieur Samba Thiam et sa direction d’agir afin de mettre fin à l’utilisation abusive des flam dans toutes les sauces qui alimentent, accentuent les invectives intercommunautaires qui empêchent l’unité des causes que nous défendons en commun. J’ai lu avec beaucoup d’attention la « PETITE MISE AU POINT » de Kaaw Touré porte parole des Flam.
Je suis tout à fait d’accord qu’il faut combattre ensemble avec toutes les armes du monde possible ces mauvaises personnes qui salissent l’image des mouvements négro-africains particulièrement celle des FLAM sans concession. Beaucoup de gens trouvent le travail que nous faisons en ce moment comme perte de temps à répondre aux anonymes, mais non mesdames et messieurs, il faut dégommer ces pokers menteurs professionnels de la toile qui empêchent l’unité des combats contre l’esclavage et le racisme. Nous savons jusqu’à tout récemment qu’ils défendaient fermement l’idée de dissocier, séparer le combat contre l’esclavage de celui du racisme, ils disent haut et fort leur priorité, c’est ne pas de combattre l’esclavage qui concerne essentiellement les haratine mais celui du racisme comme si les haratine ne sont pas touchés par le racisme d’état. Nous savons tous que les haratine sont doublement victimes à la fois du racisme d’état et de l’esclavage. Malheureusement, ils s’identifient souvent aux Flam, en plus ces pseudos militants traitent péjorativement les haratine en ricanant comme des hyènes en chaleur sans complexe ni remord de harnos ou hardané qui selon eux ne méritent pas d’être défendu par les mouvements négro-africains. Ce qui est contre les engagements du mouvement flam à notre connaissance pour pimenter leurs arguments de diviser les causes noires, ils mettent souvent en avant la responsabilité de ces derniers dans les massacres des « haalpoular » en 1989. Mais nous savons se qui se cache derrière l’idée, il s’agit bel et bien d’un refus catégorique de dénoncer le système féodal basé sur des castes discriminatoires des nommés « Mathioubé-esclave ou descendant d’esclave» qui ont le même statut que les haratine au sein de ceux qu’ils appellent « négro-africains ». Vivement les réveille des Mathioubé galliyankoobé négro-africains. Je vous laisse découvrir les raisons qui tourmentent, agitent en permanence ces pseudos militants contre Dicko, les haratine en mettant en avant une haine inexplicable anti-haratine qui les met dans des états secondaires de colères, ils ne veulent pas du tout le rapprochement entre haratine et ce qu’ils appellent « négro-africains » voyant cela est possible peut être avec un certains Dicko associés avec d’autres tout en versant des larmes de crocodile:
« Wouloum Seyke : Les soninké, les Poulars, les Wolofs et les Bambaras sont bien les seuls en Mauritanie dont on a contesté la mauritanité. C’est pour ça que 1989 a été possible avec toutes les horreurs qu’on sait… C’est aussi pour ça que notre combat prioritaire c’est d’abord celui-là. Après bien sûr, en tant que citoyens et êtres humains tout simplement, nous combattrons l’esclavage en tant qu’injustice insupportable. Et nous le combattrons jusque dans nos propres familles s’il le faut. Et là dessus toutes les alliances restent possibles et même souhaitables. De même que nous combattrons toutes les autres injustices du pays. Mais nous avons, comme je l’ai toujours défendu, une sensibilité particulière pour le problème qui nous touche spécifiquement. »
Extrait de l’interview de Samba Thiam du Flere.fr : Les combats contre l’esclavage et le racisme sont-ils indissociables selon vous ? Comment comptez-vous vous organiser pour rassembler ceux qui en sont victimes et qui sont en ordres dispersés depuis l’indépendance de la Mauritanie ?
SamabaThiam : « Oui je le crois, tout à fait indissociables tant sous l’angle pigmentaire, que sous l’angle de classes. Ces combats nous semblent si bien liés que nous avons toujours pensé que la fin, définitive, de l’esclavage passe, nécessairement, par la fin du racisme d’Etat. Sortir de l’esclavage pour les harratines, sans livrer bataille pour la fin du racisme d’Etat, reviendrait, simplement, à changer de ghetto. Ils auront gagné la bataille sur le déni d’humanité qui les frappe mais, inévitablement, retomberont dans celui de citoyenneté. »
PETITE MISE AU POINT par Kaaw Touré, porte parole des FLAM:
« Décidément le ridicule ne tue jamais en Mauritanie ! Les thuriféraires et autres écrivassiers et mercenaires du Système nous voient partout sur la toile et c´est tout un honneur pour nous. A chaque fois que certains jeunes Négro-africains leur opposent des arguments ou dénoncent leurs méthodes, exposent leurs postures politiciennes et impostures intellectuelles ils nous voient derrière s´ils ne nous accusent pas injustement d´être derrière certains pseudonymes. Nous les comprenons bien, ils sont en service commandé, ils ne peuvent être honnêtes sinon ils se retrouveraient aussitôt en mal d´arguments pour accomplir leur sale besogne: la calomnie. Pourquoi se cacher derrière un pseudonyme ou envoyer des militants par procuration pour exposer notre projet de société, nos rêves, notre combat pour la Mauritanie, notre pays? Non messieurs, nous avons toujours assumé nos positions et nos convictions depuis notre tendre jeunesse à
l´intérieur comme à l´extérieur du pays. Devant nos tortionnaires enchainés nous avons dénoncé ce Système. Devant nos juges menottés et sans avocats nous avons dénoncé ce Système. Liberé des geôles après avoir purgé ma peine, j´ai récidivé. Poursuivi par les bras armés du Système et chassé de mon pays j´ai continué la lutte à visage découvert au moment où certains rasaient les murs ou intégraient le troupeau du silence ce n´est pas au moment où on peut s´exprimer en toute liberté sur la toile, sur les chaines nationales et internationales que je vais prendre le voile pour dévoiler le Système et combattre le mal. J´ai toujours assumé mes écrits et mes actes à visage découvert. Pour moi la politique est avant tout et surtout une question d´éthique et de principes. En bon Flamiste j´ai juré sur mon honneur de ne jamais transiger ni avec le devoir, ni avec la conscience, de ne jamais me départir de nos positions justes et honnêtes, de me maintenir dans ces positions jusqu´à la disparition totale de toute tyrannie, domination et oppression exercées sur mon peuple et jusqu´à ce que tout citoyen mauritanien vive libre, digne et heureux en Mauritanie. A bon entendeur….chahut! LLC! »
Il faut reconnaitre par éthique politique que tous les « Beidhane et Haratine » ne sont pas responsables des massacres des haalpoular, comme tous les haalpoular, soninké, wolof et bambara ne sont pas irréprochables dans ce qui s’est passé au cours des événements 1989. Le seul responsable à notre sens, c’est l’état Mauritanien, s’il y a des comptes à demander, on doit s’adresser à l’état d’abord qui est garant de la sécurité de tout citoyen alors bien évidement premier responsable des atrocités pas aux communautés au risque d’alimenter une guerre civile. Voici un exemple type d’imposture intellectuelle que les responsables de la communication des flam ne doivent absolument pas laisser passer en prenant la charge de remettre les points sur I s’ils sont vraiment pour l’unité des mouvements noirs Mauritaniens comme ils le disent. On passe beaucoup du temps à indexer le système « Beidhane » en laissant pousser certaines idées qui créent une ambiance malsaine qui peut être qu’elles sont semées à l’origine par notre propre camp à notre insu donc vigilance:
« Pseudo Wouloum Seyké charge en s’improvisant militant flamiste : On ne reproche pas à Diko d’être proche des Flam, mais plutôt de le feindre à des buts inavouables! Là en l’occurrence ce que je te reproche c’est d’essayer de foutre en l’air le travail que fournissent les Flam pour se rapprocher des autres mouvements frères dans la perspective de son redéploiement. Tu aurais aimé des Flam isolées, coupées de ses partenaires naturels pour mieux les mettre dans le giron qui t’arrange. Mais tout ça est désormais compris par tout le monde. Wouloum aura peut-être au moins servi à ça, à attirer l’attention sur la mission de division et d’isolement des forces négro-africains dont tu es chargé par tes commanditaires. »
Vous voyez, se sont cas même des graves accusations gratuites. Dicko dey n’est pas né les années 1990 ni un homme facile à manipuler comme ils ont l’habitude de faire sur la toile. On voit que ces cinglés cagoulés du net sont au bout du souffle alors ils s’agrippent sur les flam pour enfoncer le clou de la division. Bientôt leurs idées seront anéanties si les flamistes le veulent bien, le fameux discours ne tient plus sur les rails, une catastrophe internationale dans le milieu des nègres de service en cours qui sont plantés partout comme des parasites au sein de la diaspora Mauritanienne en Afrique, USA, Europe : « Dicko s’attaque qu’aux leaders haalpoular, dicko est un infiltré de ses maitres beidhane pour diviser les haalpoular, Dicko est un anti négro-africain « haalpoular-soninké », Dicko ceci et cela…. Ils sont tapis au sol, ils s’alimentent des mensonges sur le dos des flam avec des enveloppes des ambassades du système terroriste des faux généraux racistes et esclavagistes pour défendre le pouvoir. A chaque fois qu’un tortionnaire haut gradé veut effectuer une mission, il les consulte et ils se chargent de sécuriser son parcours, ils n’hésitent plus à contacter la radio kassataya qu’ils considèrent comme la presse de la diaspora afin de permettre ce dernier de narguer, d’insulter d’avantage les vraies victimes. Ce qui fut le cas du voyage de Ely Ould Mohamed Vall dernièrement et ils sont tous ressortis avec des enveloppes selon les renseignements qui s’élèvent à plusieurs milliers d’euros. C’est confirmé en analysant ces quelques phrases du pseudo Wouloum Seyké qui dit:
« C’est tellement grave que même quand tu veux défendre ton amie Mariame Kane, tu finis quand même par l’insulter. »
Là on se comprend compte que cet agent cagoulé est à la pointe des renseignements sur mes relations avec Mariam Kane et les autres. Ah Ley,disons halte aux radios kankan des Moukhabaratte…………
Diko hanoune, sans langue de bois.