Abdel Aziz a appelé à une ouverture de tous les dossiers, soulignant que la formation des commissions d’enquête de l’assemblée nationale ne l’effraie pas. Il a déclaré que si l’enquête continue, qu’il dénoncerai tous les ministres et fonctionnaires qui lui avaient requis de commettre des actes contraire à la loi.
Ould Abdel Aziz a souligné qu’il est contre le terme référence du parti que le président Mohamed Ould Ghazouani réclame, indiquant que cela est une violation de la constitution et des lois du pays. ” La référence est un degré plus élevé que la présidence du parti, qui est interdite par la constitution. La référence du parti est un cas fabriqué, une idée folle et invalide, que je veux invalidé, elle n’a aucun fondement juridique, moral ou éthique”. déclare t-il.
Ould Abdel Aziz a comparé la crise d’aujourd’hui de l’UPR comme celui du débat du troisième mandat, considérant qu’il y avait ceux qui se sont précipités pour la soutenir malgré la violation de la constitution, soulignant qu’il a freiné les commanditaires et mis fin à la polémique.
Ould Abdel Aziz a aussi déclaré: “Si ce qui se passe à l’UPR est conforme à la loi et à la constitution, je l’aurais accepté, mais je n’ai rien trouvé qui soit conforme à la loi dans tout cela.” ajoutant que “certaines personnes ne peuvent pas être impliquées dans le parti alors qu’il est personnellement considéré comme l’un des fondateurs du parti et détient la carte du premier membre“.
Concernant le changement du bataillon de Bazeb, Ould Abdel Aziz a nié toute relation avec les changements intervenus au sein du bataillon présidentiel de sécurité. Il a refusé de donner de détails et a déclaré aux journalistes de s’adresser à ceux qui ont pris la décision.
Ould Abdel Aziz a conclu sur les inconvénients auxquels il a été soumis pour organiser cette conférence, soulignant la défaillance technique causée par le retard de plusieurs heures. La conférence de presse s’est tenu à son domicile parce que les trois hôtels contactés se sont excusés de l’accueillir après avoir acceptés.
Deux chaines de télévision s’étaient aussi excusées sur la retransmission en directe et la mairie de ksar ne lui a pas donner une autorisation écrite.