Les promoteurs de la mesure veulent « décoloniser » la capitale tunisienne, tandis que ses détracteurs craignent une « islamisation » de la ville.Une chronique d’Azzzeddine Ben Hamida
L’adoption d’un arrêté par le conseil municipal de Tunis, lundi 31 décembre, obligeant les commerces de la capitale à utiliser la langue arabe sur leurs enseignes suscite encore la polémique en France à tel point que même Le « prestigieux » journal « »Le Monde, voix de la diplomatie française, s’est mêlé de ce fait Tuniso-Tunisoi en lui consacrant une langue tribune s’intitulant : « A Tunis, l’obligation d’utiliser l’arabe sur les enseignes commerciales fait débat ». Lire la suite