Le chef d’Etat malien sait qu’au lendemain des élections législatives peu démocratiques qui auront lieu le premier septembre, ses opposants pourraient contester la légitimité du scrutin dans la rue. Du coup il se prépare à cette éventualité en emprisonnant le leader du mouvement anti esclavagiste mauritanien, un des rares politiques susceptible, demain, d’affronter la répression
Le principal souci du pouvoir mauritanien aujourd’hui est de gérer au mieux les lendemains d’une élection qui sera marquée nécessairement par la fraude et la violence. Lire la suite