Le français langue de communication et d’échange entre parlementaires mauritaniens monolingues ou outil de manipulation

Le français langue de communication et d’échange entre parlementaires mauritaniens monolingues ou outil de manipulationFacebook Pr Lo

Le nationalisme chauvin d’antan,a désormais basculé dans le racisme suprémaciste pur et dur, par le biais d’une interprétation vulgairement politicienne de l’islam. La vision néofasciste que ses tenants cherchent à imposer à une société prête à accepter le pire, en raison de la crise matérielle et morale qui l’affecte dans ses profondeurs, est la suivante: le Qoran ayant été révélé et transcrit en arabe, celle-ci est donc une langue supérieure à toutes les autres.

Peu importe que nul verset ne l’ait imposé comme tel. Peu importe que l’islam fût d’emblée Lire la suite

En Afrique, près d’un décès sur cinq dus à la COVID est lié au diabète

En Afrique, près d’un décès sur cinq dus à la COVID est lié au diabèteL’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que 18,3 % des décès dus à la COVID dans la région Africaine sont liés au diabète, l’une des conditions qui, d’après des études mondiales, augmentent le risque de forme sévère de la maladie et de décès parmi les patients infectés par le virus.

L’analyse par l’OMS de 14 pays africains, qui ont fourni des informations sur la COVID-19 et les comorbidités, a montré que le risque de complications ou de décès de la COVID-19 parmi les gens diabétiques augmente avec l’âge, Lire la suite

Souvenirs de Moustapha Bedreddine (I-II-III) /Par Mohamed Yehdih O. Breideleil

Dans les temps passés, lorsqu’un saint homme disparaissait les hommes étaient frappés de terreur. Ces saints vivant parmi les vivants n’empêchaient pas la mort, mais étaient sensés éviter ce qui est pire qu’une mort individuelle: la disparition  de groupes entiers ou la déchéance de toute une société, la mort morale.

​Souvent le désarroi et l’inquiétude de ce qui pourrait advenir menaient à la perte de sens, du goût même de la vie. On dit que l’un des hommes les plus avertis, non seulement de son temps, mais de toute l’histoire du grand désert saharien, Cheikh Sidi Mohamed O. Cheikh Sidya, à la mort de son père demanda à Dieu de ne pas le faire vivre Lire la suite

Souvenirs de Moustapha Bedreddine ( IV )/ Par Mohamed Yehdih O. Breideleil

Nous n’avions sur nous rien qui soit prohibé, nous n’avions fait aucun mal à qui que ce soit, nous n’avions commis aucun acte qui lèse qui que ce soit et peut-être tout au long de toute notre vie d’alors, pourtant nous étions réduits à cet état de traqués. On nous reprochait nos idées. Nous n’en sommes même pas responsables. Elles se sont infiltrées, par effraction dans nos esprits, sans que nous sachions quand et pourquoi, mais sûrement pour nous torturer. Elles se sont imposées à nous, sans que nous les ayons choisies. Voilà la vérité.

Souvenirs de Moustapha Bedreddine /Par Mohamed Yehdih O. Breideleil

Souvenirs de Moustapha Bedreddine /Par Mohamed Yehdih O. BreideleilDans les temps passés, lorsqu’un saint homme disparaissait les hommes étaient frappés de terreur.

Ces saints vivant parmi les vivants n’empêchaient pas la mort, mais étaient sensés éviter ce qui est pire qu’une mort individuelle: la disparition de groupes entiers ou la déchéance de toute une société, la mort morale. ​Souvent le désarroi et l’inquiétude de ce qui pourrait advenir menaient à la perte de sens, du goût même de la vie. Lire la suite

Enquête sur le dossier dit de la « décennie » : profondes déchirures dans le camp de l’ex-président Aziz

Enquête sur le dossier dit de la « décennie » : profondes déchirures dans le camp de l’ex-président AzizRien ne va plus dans le camp de l’ex-président Mohamed Ould Abdel Aziz.

D’abord ébranlé par ses ex-Premiers ministres et membres de ses gouvernements qui ont tous pris leur distance dans l’affaire dite de la « décennie », puis par ses proches hommes d’affaires qui l’ont mis à l’index lors des interrogatoires de la Police portant sur le Rapport de la Commission chargée de l’enquête Parlementaire, le camp de l’ex-homme fort du pays vient d’être secoué par une secousse sans précédent : la guerre ouverte entre Beder Ould Abdel Aziz et Ahmed Ould Bah dit Hmeida, dix ans conseiller à la sécurité, ancien bras droit et homme à tout faire de l’ex-président. Lire la suite