
Ce 7 mars 2017, la Plateforme de protection des lanceurs d’alerte en Afrique (Pplaaf) a été lancée à Dakar au Sénégal. Elle réunit des magistrats, des avocats, des journalistes et divers militants. Ce collectif est emmené par l’avocat français William Bourdon (photo).
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Maimouna Mint Ahmed Salem est une jeune mauritanienne ambitieuse et surtout soucieuse de la promotion de la qualité et du cadre de vie mauritaniens.
Dans un atelier sur les droits de l’homme organisé par la jeunesse de Tawassoul à Kaédi, Maitre Id Ould Mohamed, avocat et militant de droits de l’homme a confirmé l’existence de pratiques esclavagistes en Mauritanie, en s’appuyant sur des faits réels.
Le 6 mars, journée de la lutte contre l’esclavage, célèbre, surtout, l’enracinement de l’égalité citoyenne, pour l’abolition des privilèges de naissance et l’éradication de toute forme d’exploitation de l’être humain, quelles qu’en soient les motivations, raciales, religieuses ou de rentabilité économique.
Le 14 février 2017, la Haute Représentante de l’Union européenne (UE) pour les affaires étrangères et la politique de sécurité,
Le rapporteur spécial des Nations Unies (ONU) sur la torture et les autres traitements cruels, inhumains et dégradants, Juan E. Méndez, interpelle les autorités mauritaniennes sur plusieurs cas liés à la question des droits humains.
Un rapport de l’ONU publié à Nouakchott par le site « Cridem » met en cause les méthodes violentes de la police mauritanienne. D’où la plainte déposée à Paris par les militants du mouvement anti esclavagiste IRA.
