Mr Baba ould Ahmed Fall : licencié par l’ambassade d’Amérique et le tribunal du travail rejette sa plainte

Mr Baba ould Ahmed Fall : licencié par l’ambassade d’Amérique et le tribunal du travail rejette sa plainteMonsieur Baba Ahmed Fall réclame ses droit à l’ambassade d’Amérique en Mauritanie suite à son licenciement après un an et demi de travail comme agent de sécurité au niveau de l’ambassade alors qu’il avait signé un contrat à duré déterminé (CDD) de 10 ans en 1997.
Ce dernier dit avoir était licencié sur la base d’une accusation que lui avait faite un certain             Dia  Abdarahmane : contrôleur à l’époque qui l’accusait d’être raciste et de ne pas aimer les « halpulaar ».

Mr Baba dit qu’il était sergent dans l’armée nationale avant de réussir plus tard au concours de recrutement d’agent de sécurité à l’ambassade d’Amérique et avait toujours fait son travail correctement pour un salaire de 26000 et quelque ouguiya chaque 15 jours, avant d’être expulser injustement à cause des fausses accusations.

Depuis les démarches de Mr Baba badge N° 1381 furent sans suite, mais il continu de réclamer le recouvrement de ses droits estimer à 10.802.896 ouguiya par la Confédération Libre des Travailleurs de Mauritanie (CLTM) N°048/2013.

Cependant «même le tribunal du travail à Nouakchott a rejeté ma plainte et j’ai été considéré comme un des employés diplomatiques » dit-il malgré l’intervention de Maître Fatimata M’baye et Maître El-id le président de la fédération des jeunes avocats.

De ce fait Monsieur Baba félicite le président Barack Obama et l’invite à rappeler aux américains qui dirigent la diplomatie américaine en Afrique qu’ils ne doivent pas travailler en dehors de la loi et les valeurs américaines.

Aujourd’hui il prie tout simplement à ce que l’ambassade d’Amérique enMauritanie recouvre ses droits dont il a été privé pendant toutes ces années, ce qui n’est pas sans conséquence sur sa famille : dont ses enfants ont été obligé de quitter l’école très tôt pour travailler et l’aider à subvenir aux besoins de cette dernière et les filles de se marier très tôt aussi.

Source : Essirage (Mauritanie)