
Lire la suite →
Amnesty International publie un rapport sur la répression contre les militants des droits de l’Homme en Mauritanie. Selon les chiffres avancés par l’ONG, il y aurait jusqu’à 43.000 personnes vivant en situation d’esclavage dans le pays.
Lire la suite
Alors qu’il réalisait depuis une vingtaine de jour un reportage sur le sort des esclaves dans ce pays, Seif Kousmate est arrêté le 20 mars dernier par les autorités mauritaniennes alors qu’il quittait le pays pour se rendre au Sénégal voisin, afin d’y prendre un vol retour vers le Maroc. « Au début, ils ont pensé que j’étais terroriste », explique ce dernier au HuffPost Maroc.
Esclaves sexuelles, ouvriers, domestiques ou agriculteurs… Amnesty International alerte sur une pratique toujours en cours depuis l’abolition en 1980.
(Photos AFP) Lire la suite
Nous, organisations signataires de la présente déclaration, déplorons qu’en dépit de toutes les campagnes et saisines adressées aux Autorités mauritaniennes au sujet du trafic des personnes vers l’Arabie Saoudite qui a commencé en 2015 Lire la suite
Alors que la succession de Mohamed Abdel Aziz, auto-succession ou par défaut, continue de s’entourer d’un lourd mystère, la majorité prépare une sale mayonnaise, sous couvert de restructuration du parti Union Pour la République (UPR) avec un grand marché à ciel ouvert de vente et d’achat de conscience, tandis que timidement, l’opposition tente de se réorganiser.
Lire la suite
Entamées depuis quelques jours, les opérations d’implantation de l’Union pour la République (UPR), principal parti de la majorité, suscitent une vague d’indignation au sein de l’opposition. Des collectes suspectes de pièces d’identité sont à l’origine des protestations.
Lire la suite
Il y a quelques semaines, le président Mohamed Ould Abdel Aziz décidait de mettre en place une commission de restructuration de « son » parti, l’Union Pour la République (UPR).
Antar Ibn Cheddad – Une fois de plus, les agissements du régime de Aziz donnent raison à l’ancien patron des patrons, Ahmed baba Ould Azizi, qui avait refusé de jouer le rôle de collecteur de fonds au profit du locataire du palais ocre et de son parti en décomposition.
Lire la suite