J’avais écrit ceci:
Oui la tribu est stratifiée verticalement. alors évident que ceux se trouvant au bas de l’échelle sociale inégalitaire sont vus inférieurs par ceux qui en ont le monopole de celle ci, c’est ce sentiment de dominé et dominant qui crée le sentiment de frustration, car voyant le premier s’arrogeant de tous les privilèges liés à la naissance , Eh bien le second animera obligatoirement un sentiment d’animosité, dans ce cas précis, je prends la communauté Haratine, à la quelle tu fais avec subtilité allusion et les autres damnés du pays, cette communauté n’avait dans la tribu qu’humiliation et exploitation, les quelles se traduisent ajour d’hui par la marginalisation et l’exclusion visibles à tous les niveaux et ce depuis l’indépendance à nos jours. regardes ces brasseuses de couscous assises nuitamment dans les quartiers de grandes villes sous les lumières des Boutiques, vendeuses de légumes, ces vendeurs de charbon, ces Dockers aux ports, bref, ce bas peuple uniquement de cette communauté qui gémit dans les souffrances et qui s’écrase sous les poids hideux de la pauvreté et de l’ignorance, sans parler de ceux parmi eux qui ont par persévérance et sacrifice des parents ont obtenu des diplômes méritants non falsifiés comment ils sont traités et humiliés. delà prend naissance le sentiment d’appartenance de destin d’où le repli identitaire et commence de fait la contestation qui si elle n’est pas écoutée un jour créera le désordre qui donnera obligatoirement un nouveau ordre social plus juste et plus égalitaire. serions nous sages de ne pas en arriver là? A la lumière de ce je vois je m’en doute fort.
Au terme d’une visite en Mauritanie effectuée du 17 au 22 mai, une délégation antiesclavagiste américaine d’Abolition Institute a salué les bonnes intentions et garanties fournies par le gouvernement mauritanien à propos de l’application des peines contre les auteurs de crimes d’esclavage, des dossiers pendants devant les juridictions. 
Un homme du nom de Mohamed Ould Aichetou Mint Hmeydi, résidant au village Beled Tayeb de la moughataa d’Aleg en Mauritanie est décédé il y a peu de temps. Il a laissé 2 épouses, une fille, 2 demi-frères du côté de la mère et quelques biens matériels. 
C’est dans un Palais des Congrès archicomble qu’a et lieu ce dimanche 23 Mai le lancement officiel des activités de l’alliance nationale pour la lutte contre la corruption et la restitution des biens mal acquis. 
