https://www.youtube.com/watch?v=0cYYTNZ3s6E
Elle veut rendre les femmes « actrices de leur sécurité ». Dans son pays, la Mauritanie, Dioully Oumar Diallo se bat pour mettre un terme aux violences faites aux femmes. Elle est à l’origine de deux initiatives pour apporter des solutions concrètes sur le terrain. La première est une application nommée « Taxi Secure » pour rendre les courses en taxi plus sûres. La deuxième, « Rim Self-Defense », propose des formations d’auto-défense pour les femmes. Ces cours gratuits dans les quartiers de Nouakchott sont donnés par des moniteurs engagés bénévolement.
Egalement au sommaire de cette émission, la Tunisie, où les indicateurs économiques restent négatifs. Mais, en cette période de crise, des PME et des start-up tirent leur épingle du jeu. Elles misent sur le savoir-faire local pour proposer des produits originaux destinés à des marchés de niche, le plus souvent pour l’export.
Pour finir, nous prenons la route des Seychelles pour vous faire découvrir le trésor national de l’archipel : le coco de mer. Plus connu sous le nom évocateur de « coco-fesses », c’est le trésor national des Seychelles. Cette graine géante de palmier qui ne pousse que sur certaines îles de l’archipel est très prisée des touristes, et ses prétendues vertus aphrodisiaques lui ont-apporté une renommée mondiale. Pour protéger cet emblème, sa culture et son commerce sont strictement réglementés.
FRANCE 24

Les Forces de Libération Africaines de Mauritanie (FLAM) célèbrent leurs trente-sept ans.
Tous les moyens sont bons pour couvrir les crimes de l’esclavage. Mohamed Ould Ikabrou, Procureur de la république à Selibaby dans la région du Guidimakha falsifie le crime d’esclavage en une banale affaire de « tutorat d’un mineur » pour couvrir bien évidemment les criminels esclavagistes.
Les dockers ont manifesté mercredi 5 février courant devant le palais présidentiel à Nouakchott, exigeant leur recrutement officiel par le port autonome de Nouakchott, dit Port de l’Amitié (PANPA).
Le député-maire El Ghassem Ould Bellali a mis en garde ses proches, contre toute discussion de la question de son désaccord avec le président du Parlement, avec tout parti tribal, soulignant que le président de la République Mohamed Ould Cheikh El-Ghazwany est celui qui devrait traiter le dossier et mettre fin au comportement de certaines personnes et qu’après ce jour, Ould Baya ne doit plus rester président du Parlement et s’il est président du Parlement il doit rendre compte de son agissement..
En Mauritanie, ils sont nombreux à abandonner leurs villages pour chercher du travail dans les grandes villes.