Liste des Justes Haratine
1. Aichatou Mint Abdallahi, la célèbre conseillère de la commune de N’Diago (Moughataa deKeurmacene) Vidéo 30
2. Lehbouss Ould Oumar, militant de l’IRA Communiqué 59
3. Imah Mint Semettë, député de R’kiz Vidéo n°36
Liste des Justes Haratine
1. Aichatou Mint Abdallahi, la célèbre conseillère de la commune de N’Diago (Moughataa deKeurmacene) Vidéo 30
2. Lehbouss Ould Oumar, militant de l’IRA Communiqué 59
3. Imah Mint Semettë, député de R’kiz Vidéo n°36
Liste des cadres Haratine victimes
du système racial de Mauritanie
et accusés de
détournement de deniers publics
Les pratiques esclavagistes conduisent inévitablement aux sévices physiques et moraux. Les particuliers insultent, frappent, torturent, lynchent… etc. L’Etat, a ses méthodes pour contraintre,punir, sanctionner…etc, les Haratine. Les buts sont les suivants :
– Contraintre les Haratine à accepter le jeu de la féodalité et de l’Etat ( ici confondus)
– Renoncer à une attitude anti-esclavagiste,
– renoncer à une position politique,
– renoncer à une attitude d’indépendance,
– Accepter de participer à un détournement en la faveur des maures
– Continuer les relations esclavagistes avec le maure, les maures, la tribu …etc
1) Sghaïr ould M’bareck, ancien premier ministre de Ould Taya, appartenant à la tendance authentique d’EL HOR ( les haratine qui revendiquent l’arabité).
2) Mohamed ould Haïmer, ancien ministre et ancien secrétaire général du Sénat de Mauritanie, appartenant à la tendance authentique d’EL HOR ( les haratine qui revendiquent l’arabité).
Horma Ould Babana (tribu Idaouli) 1er député mauritanien à l’Assemblée Nationale Française (ANF) de 1946 à 1951. L’intéressé n’a jamais évoqué la question de l’esclavageà l’ANF.
2. Moktar Ould Daddah (tribu Oulad Biéri) premier président de la Mauritanie (1957-1978). Au sujet de l’ esclavage voilà ce qu’il disait : « Le problème de l’esclavage en Mauritanie peut être résolu de deux manières : soit par une révolution sanglante, ce dont le pays n’a pas les moyens, soit par une évolution lente de la société grâce au développement économique, et cela est en train de se réaliser. La preuve en est que les propriétaires d’ esclaves, qui disaient « nos esclaves », depuis quelques années sont génés et cherchent des périphrases pour s’ exprimer. En tout état de cause, nous ne pouvons pas affronter les féodaux sur ce terrain à l’heure où le pays est en danger [ référence à la guerre du Sahara], même si le problème nous préoccupe…(5) » ( Monde diplomatique, novembre 1998 : Amel Daddah