Ce militant abolitionniste, qui a été condamné à trois peines de prison, se rend aux élections présidentielles pour tenter de mettre fin à l’apartheid que le gouvernement pratique avec la population noire.
Le mot « apartheid » est Afrikaner, la langue des colons néerlandais de l’Afrique du Sud. Cela signifie « séparation » et définit depuis des décennies un système suprématiste dans lequel la population noire et majoritaire (79%) était séparée, sans droits sociaux ou politiques, par l’élite blanche. Cette aberration a pris fin en 1992 grâce à la lutte d’activistes comme Nelson Mandela. Continuer la lecture →

10 000 selon les services du ministère de l’Intérieur ; 22 000 selon les organisateurs…
76 partis politiques ont été dissous par arrêté du Ministère de l’Intérieur.
Le ministre saoudien des affaires étrangères a saisi l’ambassade de son pays à Nouakchott à l’effet d’émettre un avis concernant le projet de mise en place, par l’Arabie Saoudite, d’une base militaire en Mauritanie.
Le projet « Rencontre, Femmes et Violences, plaidoyer pour une loi juste » a bouclé, ce 29 mars, une séries de journées de sensibilisation autour de la loi contre les violences faites aux femmes, par un forum international de deux jours, à l’hôtel Mauri-Center.
Le président d’IRA-Mauritanie et député Biram Dah Abeid a officiellement déclaré, lundi 25 Mars, sa candidature à l’élection présidentielle du 16 juin prochain. C’est dans une salle archicomble de l’Institut Supérieur de la Jeunesse et des Sports (ISJS, ex-ancienne Maison des jeunes) que celui qui se définit comme le « candidat national indépendant » à l’élection présidentielle s’est prononcé devant ses sympathisants et militants. Forte mobilisation, véritable démonstration de force.
Le ministère de Justice refuse de renouveler l’agrément de l’association Sherpa, qui permet à celle-ci de se constituer partie civile dans des affaires de corruption et de criminalité économique.
« Le Monde Afrique » a décidé de publier l’un des articles de la revue « Afrique contemporaine » consacrée au Mali qui ne verra pas le jour. La publication du dossier a été suspendue par l’AFD, son organisme de tutelle.
Le colonel Sidi Ould Bilal a été demis de toute fonction pour avoir publié un livre intitulé : « la Mauritanie, la racine » dans lequel, il dénonce les discriminations dans les quelles vivent les Haratines (la communauté noire arabisée de Mauritanie).
La Mauritanie est dans le triste top 5 des pays Africains qui ont vu défiler des régimes civils ou militaires autoritaires, issus pour la plupart de coups d’Etat. Ces coups d’Etat virtuels ou réels ont causé des déchirures sociales et des haines entre les populations du Sud et celles du Nod du pays.