De nombreux petits partis politiques mauritaniens annonceraient dans les jours qui viennent leur adhésion au parti au pouvoir, Union pour la République, (UPR), de crainte qu’ils ne soient dissous en cas d’application de la loi qui ordonne la dissolution de tout parti n’ayant pas récolté 1% durant les dernières élections municipales, législatives et régionales.
Alors, cette loi touchera sans doute plusieurs formations politiques qui n’ont pas pu recueillir le 1% des suffrages exprimés des électeurs lors des scrutins même si certaines ont eu la chance d’avoir un siège à l’assemblée nationale. De l’avis des analystes, la seule chance d’échapper à la sanction juridique est de se caser à l’Union pour la République.
Alors, cette loi touchera sans doute plusieurs formations politiques qui n’ont pas pu recueillir le 1% des suffrages exprimés des électeurs lors des scrutins même si certaines ont eu la chance d’avoir un siège à l’assemblée nationale. De l’avis des analystes, la seule chance d’échapper à la sanction juridique est de se caser à l’Union pour la République.
Nous signalons que le gouvernement avait proposé une nouvelle loi organisant la vie politique dans le pays lors des dialogues politiques avec les partis de l’opposition dite dialoguiste dans les années passées. Par conséquent, les assises de ces journées de concertations se sont soldées par plusieurs lois dont l’interdiction de la transhumance politique.
Source : Tawary (Mauritanie)