
Deuxièmement, aucune circonstance ne doit justifier la soumission des détenus à de mauvais traitements, à des humiliations physiques et psychologiques ou toute forme de torture, comme nous le constatons ces jours-ci à travers les vidéos largement diffusées.
Troisièmement, la commission ne doute pas un instant que de tels actes ne sont que des actes isolés d’agents ignorant les contours de leur mission et n’engagent en aucun cas les services dont ils dépendent.
Quatrièmement, face à la récurrence de tels actes la Commission s’engage à déclencher une mobilisation spéciale au niveau des autorités concernées afin de prendre les mesures idoines pour que ces pratiques ne se répètent plus et que les auteurs soient punis.
Source : CNDH