
La mineure était partie pour dire bonjour à sa grand-mère, qui la donna en mariage à un vieux, père de famille, résident en Cote d’Ivoire et qu’elle n’a jamais vu, contre 500 mille ouguiyas anciennes, remettant la fille à son beau frère.
La mère a supplié la justice et les organisations de défense des droits humains de l’aider à recouvrer les droits de son enfant.
L’ONG CORDAK, dirigée par la militante des droits des femmes Zeinebou Mint Sidina, qui a dénoncé avec vigueur le mariage de la mineure, s’est aussi engagée aux côtés de la famille de l’enfant dans cette affaire de mariage précoce.
Source : Essahraa (Mauritanie)