Les acteurs politiques de la majorité et de l’opposition explorent, depuis quelque temps, les voies et moyens d’organiser un dialogue national inclusif. Le RAG est-il preneur ?
Oumar Yali : Je voudrais, dans ma réponse à cette première question, rappeler qu’au lendemain même des résultats de la dernière élection présidentielle, nous sommes arrivés, au parti Refondation pour une Action Globale (RAG), à la conclusion que la Mauritanie était plongée dans une situation critique à dimension multiple que seuls la concertation, le dialogue, la patience et l’ouverture peuvent régler, dans l’intérêt supérieur de la Nation et des Mauritaniens. Continuer la lecture

Nous sommes en 2012. Le samedi 13 octobre. C’est le 286e jour de l’année du calendrier grégorien, calendrier solaire conçu à la fin du XVIe siècle pour corriger les dérives séculaires du calendrier julien qui était à cette époque en usage en France.
Aux portes de la commémoration du 8ème anniversaire de la proclamation du DOCUMENT du Manifeste pour les droits politiques, économiques et sociaux des Haratine au sein d’une Mauritanie unie, égalitaire et réconciliée avec elle-même ; et en réponse aux sollicitations d’un bon nombre d’amis mais aussi par souci de laisser des traces écrites d’archives pour la postérité, j’ai décidé de vous livrer, dans les pages qui suivent, un bref aperçu sur la genèse et le cheminement de ce qui fut communément appelé par la suite, MANIFESTE DES HARATINE.
L’expert en droit islamique, Mohamed Lemine Ould Chah, a vivement critiqué les mobiles avancés par Mohamed Ould Abdel Aziz, pour justifier son absence de la prière mortuaire organisée sur l’ancien président, feu Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, qualifiant ses propos de bas et de sentir la méconnaissance et l’ignorance.
Arrivé au pouvoir en 2008, il ne le quitta qu’en 2019 non sans avoir laissé derrière lui un héritage controversé que l’histoire se chargera de classer dans ses annales et que les mauritaniens se mettront longtemps à relater.
C’est notamment le cas en Afrique du Nord. En Algérie et au Maroc, la liberté de la presse ne cesse d’être entravée alors qu’en Libye, il est extrêmement difficile d’exercer le métier.
Le journaliste franco-tunisien Béchir Ben Yahmed, qui avait fondé il y a une soixantaine d’années Jeune Afrique, est décédé lundi à 93 ans, a annoncé lundi le magazine à l’AFP.
La libération sur les pressions de la France de deux responsables de la rébellion tchadienne du FACT arrêtés au Niger suscite l’incompréhension à N’Djamena et l’embarras à Niamey.
Plus de 500 personnes ont assisté, jeudi soir, à Nouakchott au meeting commémoratif du 9e anniversaire de la publication du manifeste pour les droits politiques, économiques et sociaux des Haratines ou descendants d’esclaves.
