
En 730 jours le président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani n’arrive toujours pas à imprimer ses marques et à s’affranchir d’un système dont le rouleau compresseur a réussi à berner tous ses prédécesseurs. Lire la suite
En 730 jours le président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani n’arrive toujours pas à imprimer ses marques et à s’affranchir d’un système dont le rouleau compresseur a réussi à berner tous ses prédécesseurs. Lire la suite
C’est devenu une habitude dans le camp du mouvement clandestin et extremiste Ganbanaxu Fedde de toujours publier des accusations mensongères, gratuites et diffamatoires. Lire la suite
Esclavage par ascendance au Guidimagha : un membre de Ganbanaaxu violemment agressé à Dafort
L’esclavage par ascendance au Guidimagha (Mauritanie) : un membre de la communauté Ganbanaaxu violemment agressé par une bande issue des clans féodaux à Dafor. Lire la suite
Un ouf de soulagement pour les milliers d’expatriés mauritaniens qui ont longtemps souffert de l’exclusivité nationale qui les privait de leur nationalité mauritanienne dès lors qu’ils en prenaient une autre.
Lire la suite
En ce début de la saison d’hivernage, la Wilaya du Guidimakha est, à nouveau, le théâtre de graves incidents au sein de la communauté de Soninke, et tous les incidents sont de nature féodale conflits fonciers et de gestion des ressources des villages. Lire la suite
La place des filles : À la fin de l’année 1970, l’ENS ouvrira ses portes à une première promotion comprenant mon ami Abdellahi Fall dit Mbreya. Un premier cycle de deux ans assurera la formation sur le sol national des premiers professeurs des Collèges d’Enseignement général (CEG). À l’époque on dénombrait à Nouakchott cinq établissements secondaires: le Lycée National, un collège de garçons, un collège ou un cours complémentaire (CC) des jeunes filles, l’ENI, un collège et un lycée technique. Le tout devait compter quelques 3.000 élèves dont la moitié au Lycée national. Lire la suite
Après avoir pris connaissance du contenu du projet de loi dit de protection des symboles de l’Etat, qui devrait incessamment être discuté au niveau du parlement, nous avons été surpris que ce texte limite dangereusement les libertés fondamentales stipulées par la constitution . Ce projet de loi constitue véritablement en ses articles et dispositions émanant du pouvoir Exécutif un recul dangereux dans l’avancement réalisé sur le plan de l’arsenal juridique malgré Lire la suite