
Monsieur
De mes précédentes lettres vous avez probablement retenu des griefs contre moi, peut-être parce que les argumentations qui y sont développées étaient trop serrées ou, pire encore, manquaient de logique au point de nuire à l’agrément que l’on pourrait trouver à les lire, peut-être aussi parce que prégnante fut l’impatience que vous avez dû endurer depuis près de quatre mois dans l’attente de la suite que voici ; ce n’est pas rien en effet que de se voir subir, sans explication, une si longue attente, d’aucuns trouveraient cela trop frustrant sinon lassant !