Harratins
et Négres de services : Mercenaires contre leur communauté ?
Biram
Ould Dah Ould Abdeid tire sur tout ce qui bouge.Les élites maures et
haratines ne sont plus les seules indexées d’ériger en système
la féodalisation de rapports sociaux inégaux entre les composantes
nationales.Ceux qu’on désigne parfois sous le vocable de « négres
de service », à la solde absolue des dirigeants sont aussi accusés
par le leader de l’Ira de mercenaires contre leur communauté,
comme leurs frères haratins contre "Ewlad Amhoum" (cousins
consanguins). Dans un entretien accordé à Kassataya, relative
aux rapports culturels des communautés nationales, Biram a indiqué
que « considérer que nous sommes des frères à cause de la couleur
de la peau, c’est superficiel et erroné parce que l’esclavage
n’a pas de couleur de peau et on peut à la fois être noir et
esclavagiste ». Si le leader de l’Ira I est convaincu que les
Haratines ne peuvent en aucun cas rester dans la sphère arabe «
parce que cette situation signifierait la continuité de l’esclavage
», il ne perd pas de vue ceux qu’il a appelé « les fils de
grandes cases » des communautés noires, au sein desquels est
recruté a recruté le corps des indicateurs aussi bien chez les
Soninkés, les Wolofs que les Peuls ou Bambaras. Pour Biram, ce corps
a vraiment joué un rôle extraordinaire dans le nettoyage ethnique
de ses propres communautés, précisant qu’ils continuer de jouer
jusqu’à aujourd’hui ce déplorable rôle de mercenaires contre
leur communauté. Le leader reproche à ses fils de garder un
black-out total sur les supplices des leurs, à telle enseigne, que
partis loin à l’étranger des cercles de répression et de
l’injustice dans leur pays, ils ont toujours refusé de piper mot
sur ces inégalités sociales. Pour lui, ils sont partis à Bruxelles
et à Genève dire qu’il n’y a jamais eu de déportation, qu’il
n’y a jamais eu de morts, qu’il n’y pas de veuves, pas
d’orphelins. A la question de kassataya « qui sont-ils ? », il
répondit : « ce sont les fils de grandes cases de toutes les
communautés noires qu’ils soient Soninkés ou Wolofs. Vous vous
rappelez de Yahya Kane, de Sada Kane, de Sidna Sokhna, de Diop
Mamadou Samba Hawoyel, la liste est longue. Jusqu’à maintenant, il
y a encore des nègres de service qui jouent.... ». Les haratines ne
semblent pas échapper à cette tradition de mercenariat, puisque
Biram affirme qu’ils sont utilisés à leur tour par le pouvoir
mauritanien contre les autres frères, citant les cas de Ould Boili
et de Bomba Ould Dramane, contrairement à « Boidiel Ould Hoummeid
et Messaoud Ould Boulkheir » auxquels il est reproché plutôt de
s’opposer à l’émancipation de leur communauté selon Ould
Abeid.
Md
O Md Lemine Source:
http://www.le-renovateur.com/harratins-negres-services-mercenaires-contre-leur-communaute
Un
groupe de l’Ira a annoncé mercredi dernier en grandes pompes son
départ de cette organisation pour des motifs, dont la présumée
dérive de cette Ong non reconnue de ses principes fondamentaux et ,
sa probable « personnalisation » par ses hauts responsables.La
main du pouvoir était bien dans le projet de division de l’Ira,
qui a peut être connu un premier début, après plusieurs
tentatives de sape restées jusque là vaines et malgré les
alléchantes promesses qui attendaient les comploteurs. Une
démission que le pouvoir a médiatisée au maximum de sa portée,
en dépêchant les médias officiels pour couvrir l’événement et
recevant les dirigeants de la nouvelle Ira au plus haut niveau de la
pyramide Etat. Des égards dont l’ira-mère avait toujours été
privée en plus du refus de l’octroi d’un récépissé de
reconnaissance que des observateurs voient fort possible pour la
future structure des dissidents. Partout où des mouvements de
contestation s’élèvent, l’Etat dispose aussi de ses propres
lobbys qui se démènent sur tous les fronts pour montrer à
l’opinion, qu’au contraire, tout va bien en Mauritanie. Aussi
bien dans les associations syndicales, estudiantines que des jeunes,
le régime a ses puissants réseaux qui battent campagne nuit et
jour, parfois soutenus par l’appui de l’information publique
pour montrer aux citoyens qu’il n y aura pas de printemps arabe,
que les événements de l’université sont le fruit de
manipulateurs, que les centrales syndicales sont à la solde de
l’opposition…etc. Aujourd’hui, cette politique de diviser
pour mieux régner semble fonctionner à merveille pour le pouvoir
de Mohamed Ould Abdel Aziz, dont l’ère a été caractérisée
depuis aout 2008 par le grand nomadisme politique, la plus large
désintégration des syndicats et la plus vaste incohérence dans
les rangs des partis politiques. Au niveau des centrales
syndicales, rien à dire à ce stade, puisque le pouvoir à ses
propres syndicats qu’il accrédite à tous les forums
internationaux, marginalisant les autres qui persistent dans leur
opposition. Même tactique vis-à-vis de la COD, qui était d’abord
un Fndd, avant de connaître des défections suivis plus tard par
les départs non moins importants de l’App de Messaoud et d’El
Wiam de Boidiel Ould Houmeid. A l’université, l’Etat détient
aussi des groupes d’étudiants qui lui forcent l’estime à tout
moment. Ce n’est pas uniquement dans ces ensembles que l’arme de
la désintégration a donné le meilleur d’elle-même. Au
contraire, elle a payé au rubis dans les rangs des islamistes et
des religieux qui sont aujourd’hui divisés en deux importants
groupes ; l’un défendant le pouvoir dirigé par l’érudit
Hamden Ould Tah et l’autre opposé conduit par Mohamed El Hacen
Ould Dedew. Les autres cas se comptent par dizaine et se produisent
sous nos yeux chaque jour, dans les rangs des réfugiés, des Ongs
négroafricaines ; ce qui suppose une éventuelle infiltration dans
TPMN dans les prochains jours. C’est également semble-t-il
dans le cadre de cette stratégie que s’inscrit la dernière
scission qui a frappé l’Ira de Biram Ould Dah Ould Abeid dont des
membres avaient déclaré au cours d'une conférence de presse
organisés mercredi dernier leur divorce avec leur compagnon de
route. Les transfuges avaient justifié leur démarche par une
gestion "chaotique et opaque" du mouvement, soulignant
qu'il n’est pas un secret pour celui qui évolue au sein de cette
initiative que l’ira este caractérisée par des irrégularités
telles que sa gestion unilatérale, sa personnification, l’absence
de concertation et de dialogue sur les problèmes, la dictature
permanente, la gestion non transparente des biens de l’Ira… Des
griefs auxquels l’Ira –mère n’avait pas encore réagi bien
qu’édifié sur des attitudes suspectes sur les démissionnaires,
elle avait prévu de prendre à leur égard des sanctions au cours
de son prochain congrès. Prenant le vent en poupe, les membres
visés n’ont pas perdu leur temps pour prendre le devant et porter
un réel refrain à l’Org de Biram qui comptait jeter les fonds
baptismaux d’un CNT qui attend toujours de voir le jour, si le
régime n’est pas en train le créer le sien.
Md O. Md Lemine
Floraison
du trafic des mineurs entre Nouakchott et Riyadh
Une
lettre de l’Ambassade américaine basée dans la capitale
mauritanienne, publiée par le site WikiLeaks lève le voile sur
le visage hideux d’un grand scandale moral et juridique, dont les
fils se tissent entre la Mauritanie et l’Arabie Saoudite avec comme
toile de fonds un commerce des plus avilissants des mineures,
malheureusement acheminées vers des Lieux Saints pour d’autres
fins que le pèlerinage.
L’Ambassade
US indique, dans la lettre, qui date de 2009 que le phénomène de
l’esclavage charnel est répandu en Mauritanie, précisant son
utilisation pour métamorphiser les filles mauritaniennes en esclaves
organiques dans les palais de riches saoudiens. La lettre rapporte
également les détails de ce trafic immoral, expliqués par la
présidente de l’Ong spécialisée dans la défense de la condition
féminine, l’association des femmes chefs de ménages (AFCF)
Aminetou Mint Moctar, ainsi que les aspects de cette opération, en
vertu de laquelle, l’esclavage se déplace des foyers des pauvres
mauritaniens vers les nantis saoudiens. Mint El Moctar parle ainsi
de l’existence de trafiquants des hommes qui se chargent de la
mission de visiter les familles mauritaniennes vivant dans des
conditions très difficiles, si et seulement si ces ménages
disposent de filles âgées de 5 à 12 ans.Une proposition est alors
faite par ces « samsaras » aux parents de la fille pour la marier à
un riche saoudien en contrepartie d’un montant relativement grand
pour les mauritaniens, situé entre 5 à 6 d’ouguiyas soit environ
20.000 dollars, avec l’engagement de trouver des débouchés pour
l’enfant en Arabie ; pour ainsi les envoûter et les contraindre à
accepter le marché. Selon Mint Moctar, ses trafiquants des filles
sont généralement liés à des agences de voyage locales dont la
mission ne camoufle pas son véritable travail qu’est le trafic des
humains. Une fois l’accord obtenu, la fille est conduite en
Arabie Saoudite en compagnie de l’un de ses parents, sinon de l’un
des employés de l’agence de voyage en sa qualité
d’éducateur. Selon les informations, cet intermédiaire est
rétribué en devises en récompense de ses efforts dans la
conclusion de la transaction avec la remarque que le montant des
devises accordé diffère selon le charme et l’âge de la fille
exploitée. Mint El Moctar indique également que dés son arrivée
au royaume saoudite, la pauvre fille est transformée en esclave
corporelle de son époux saoudien, avec des abus avant que la mineure
n’atteint l’age de puberté. Mais, dés que la soumise charnelle
a ses règles ou qu’elle tombe enceinte, elle commence à faire
l’objet de désintérêt total de la part de son mari. Selon cette
militante mauritanienne, dans ces circonstances, la fille est jetée
à la rue, n’ayant plus comme échappatoire que de devenir une
débauchée. A ce stade, la lettre évoque des informations
similaires à l’esclavage moral des mauritaniennes en Arabie
Saoudite, confirmé également par une autre militante du Fonadh
Lalla Aicha Sy. Une fille mauritanienne répondant au nom de Aicha a
passé 3 ans emprisonnée dans une pièce appartenant à un homme
saoudien, le seul a avoir connu toute cette éternité, en plus d’une
bonne qui prenait soin d’elle. La lettre renvoie également à
reportages réalisés par France 24 sur ce sujet, dont le témoignage
d’une fille âgée de 7 ans, appelée Melhri, « achetée » par
une personne en Arabie Saoudite, en plus du récit d’une autre
fille, qui était contrainte d’abandonner ces enfants après avoir
été divorcé par son époux. Dans ce cadre, Aminetou Mint Moctar
a parlé d’un autre type d’esclavage charnel, portant sur
l’acheminement de femmes mauritaniennes adultes vers l’Arabie
Saoudite pour des fins de débauche. Elle a indiqué également que
les agences de voyage proposent à ces femmes le billet, les frais du
visa d’entrée en Arabie Saoudite, dans l’espoir de trouver un
travail au royaume, mais ces dames doivent s’engager de rembourser
cet argent à l’agence de voyage dés qu’elles obtiennent un
emploi. Ce qui selon la présidente de l’AFCF les contraint à la
dépravation pour honorer leurs dettes. Pour preuve de ces
informations, 30 femmes mauritaniennes ont été condamnées pour
pratique de la débauche en Arabie Saoudite. Selon les statistiques
de l’AFCF, celle-ci a offert le soutien en 2008 à 15 filles
mauritaniennes victimes de l’esclavage charnel en Arabie Saoudite,
signalant l’enregistrement de 11 cas de nouveaux esclavages
corporels en 2009. Les mineures mauritaniennes ne sont pas les seules
victimes de l’exploitation sensuelle. En effet, un autre document
émis en 2009 par l’Ambassade US dans la capitale yéménite Sanaa
évoque le phénomène du tourisme corporel pratiqué par des hommes
du Golfe vers ce pays pour pratiquer la débauche avec des mineures
dans des hôtels yéménites ouverts dans toutes les villes. Selon
Ahmed Ghourchi, membre de l’une des ONG défenseurs des droits de
l’enfant a indiqué que des hommes saoudiens voyagent au Yémen
pour tisser des relations dépravées avec des débauchées mineures,
parfois pour des unions provisoires. Il a informé l’Ambassade de
sa totale connaissance au moins de trois mineures yéménites liés
par un mariage temporaire à des hommes saoudiens visant à les
employer comme débauchées en Arabie Saoudite. Dans ce même cadre,
la lettre en question précise que les autorités saoudiennes ne sont
pas fermes dans leur lutte contre le trafic des personnes du Yémen
vers l’Arabie Saoudite ; étant donné que des saoudiens acheminent
quotidiennement des centaines d’immigrés illégaux yéménites
dont un grand nombre d’enfants. (alakhbar)
Mohamed Ould Mohamed Lemine
Source : Le rénovateur quotidien
Message adressé à L’Etat et aux militants
anti-esclavagistes : Par Allah, ne laissez pas les
« néo-mouseferines de Biram » basculer dans le néant
Tout le monde en convient. Les
militants anti-esclavagistes ont réussi un grand et historique
exploit en obligeant l’Etat à déclarer la guerre- même encore au
stade timide-, aux maîtres esclavagistes, notamment en arrêtant les
auteurs d’exploitation illégale sur des mineurs dénoncés par ces
défenseurs.
Aussitôt cette prouesse des
droits de l’homme communiquée à l’opinion publique, les
familles qui s’adonnaient jusque-là à ce type d’asservissement
furent prises de psychose, congédiant immédiatement des milliers de
mineurs, qu’ils employaient dans les villes, vers les leurs, dans
les villages ruraux où leurs parents leur donnèrent le nom de
« mouseferines de Biram ».
Parmi ces mineurs, que l’on peut
assimiler à des affranchis, pour avoir été vaillamment extraits de
l’impitoyable joug esclavagiste, il y en a des groupes- certes
minoritaires- qui, faisaient l’école, qui aidaient financièrement
leurs mères restées dans la bourse, pour réduire la considérable
dépendance vis-à-vis de ses anciens maîtres, lui permettant de se
procurer petit à petit un capital domestique de chèvres, de vache
ainsi qu’à se construire des maisons.
Il s’agit ici juste de déplorer
l’absence cruelle de mesures d’accompagnement d’un mal dont les
dommages collatéraux peuvent être regrettables voire tragiques, si
la lutte contre l’esclavage reste circonscrite à la libération
des enfants sans des débouchés économiques leur soient garantis,
pour éviter ainsi aux filles de s’exposer à la débauche et aux
garçons d’être enrôlés par les milieux de la criminalité, dés
lors où tout ce monde n’a plus le moindre sou pour subvenir à ses
besoins les plus courants et pour soutenir la mère et les petits.
Ce qui finit sans doute par
compromettre fortement et de manière considérable le processus
d’autonomie sociale et économique engagé depuis longtemps par ces
ménages renaissants, par rapport à leurs anciens maîtres.
En effet, ces ménages dont
l’indépendance est aujourd’hui mise en jeu ont des maisons, des
baraques, des robinets, des bêtes qu’ils ont pu acquérir à la
sueur de leur front, grâce à l’argent rapatrié par les enfants
qui travaillent dans les villes.
Coupé de ces revenus, tout le
chantier visant à fonder le foyer loin de la main tendue et de
l’asservissement s’écroule d’un coup, sans que ses auteurs
savent comment faire pour ne pas revenir à l’esclavage qu’ils
essayaient de sans débarrasser au jour le jour, sans assistance de
l’Etat, comptent sur leur propre endurance et leur adaptation aux
nouvelles conjonctures.
Ceci est d’autant plus vrai si
l’on sait que toute éventuelle famille esclavagiste s’estimant
aujourd’hui exposée à la simple suspicion, pour similitude de
situation, se trouve obligée de mettre à la porte ces mineurs, même
si ces enfants n’étaient pas totalement asservis.
C’est le cas par exemple de ce
mineur qui a récité la moitié du Coran et qui comme tout élève
de mahadra est tenu de faire des corvées à son maître, a été
renvoyé vers les siens, lesquels l’avaient recommandé au départ
pour l’éloigner des dépravations urbaines, ne savant pas
aujourd’hui comment faire pour éviter à leur enfant les affres de
la rue.
C’est aussi le cas de cette
femme restée au village dont les deux enfants (une fille et un
garçon) sont revenus ( cas non isolé), mettant ainsi fin à leur
travail qui lui permettait de nourrir leurs tous petits frères,
désormais contraints de taper à la porte de l’ancien maître pour
un partage de la nourriture et de l’eau.
Ce n’est qu’un cas sur
plusieurs pour une petite localité de 300 familles environs citée à
titre d’exemple, d’où l’ampleur du phénomène boomerang de
cette brave lutte appelée à réussir d’amont en aval et
inversement.
L’autre exemple qu’on peut
aussi citer pour illustrer les aspects collatéraux de ce combat
anti-esclavagiste, c’est le refus d’accès exprimé désormais
par les anciens maîtres à leurs foyers aux ex-esclaves, avec
lesquels ils avaient bien de choses en commun loin du simple
asservissement, de crainte d’être pris en flagrant délit par
Biram et ses hommes, qui, dans l’esprit de ces villageois, sont aux
aguets dans les environs pour repérer des nouveaux cas esclavagistes
et conduire leurs auteurs devant la justice.
L’autre jour, pendant mon
week-end au village, des ex esclaves me demandaient si réellement
Biram est arrivé à « Lavita » (lieu de déviation vers
la localité) et s’il envisageait venir chez eux, manifestant un
certain dépit pour les effets induits de sa lutte ; sans doute,
en raison de leur ignorance, par méconnaissance de la noblesse du
combat que Ould Dah Ould Abeid mène pour leur assurer des lendemains
meilleurs.
Une ex-maîtresse voyant son
ex-esclave venir vers elle pour la saluer, lui dit apeurée « n’entre
pas, va chez toi et dit moi à haute voix ce que tu veux ».
L’ex maîtresse, d’habitude paresseuse, obligée par son
embonpoint d’appeler à l’aide, s’efforce tant bien que mal de
faire les anciennes corvées, confiées auparavant à ces enfants
désormais interdits même de s’asseoir à ses côtés, après
avoir partagé avec elle toute une vie ensemble.
Les exemples sont nombreux pour
être cités et chacun peut y aller de sa connaissance de cette
inadéquation de la lutte contre l’esclavage, qui au rythme
actuelle, en l’absence de mesures d’accompagnement, peut conduire
à une autre forme de sociétés perdues.
Enfin, il faut reconnaître que
l’objectif de ce message est d’interpeller l’Etat et les
militants anti-esclavagistes pour travailler main dans la main, sans
passion et avec tolérance pour définir une politique pertinente
assurant un succès intégral du processus de réintégration des
anciens esclaves.
Mohamed
Ould Mohamed Lemine
source: http://www.la-nation.info
|