ARTICLE 429:
Opposition politique : NEANT
La Coordination de l’opposition démocratique est assez aveugle pour ignorer que la seule et unique crise consiste à l’esclavage que nous devons épurer à plus ou moins court terme pour le salut général. Cette question, au lieu de constituer sa préoccupation centrale, sans parler de l’apartheid et des cas de crimes pour lesquels les règlements sont obligatoires. L’opposition peureuse et opportuniste oublie volontairement que le 1er juillet 2005, la Cour d’assises du Gard condamnait à dix ans de réclusion criminelle le colonel Ely ould Dah à dix ans de réclusion criminelle, quinze mille euros d’amende à titre de dommages et intérêts, précisant le mandat d’arrêt international qui pèse sur le criminel depuis le six avril 2005, pour crimes de tortures ou actes de barbarie commis sur cinq soldat Noirs-mauritanienne s. La plainte était déposée le 4 juin 1999. La cohorte de cette espèce pullulent et obstrue tout espoir d’échappatoire ! La « coordination de l’opposition démocratique » ne daigne plus dénoncer le fondement esclavagiste et apartheid de la Mauritanie. Le fondement du crime d’esclavage et de l’apartheid se trouve dans le génocide et l’esclavage délibéré des arabo-berbères contrez les Noirs. La coordination de l’opposition cite des cas de dictature et d’embastillement du pays par l’actuel régime en oubliant de faire le lien avec l’inégalité de droits qui règne entre Noirs et arabo-berbères. Elle fait état de son opposition au travers de cas qui sont des règlements de compte personnels du général avec quelques éléments qui ont profité du système : au travers de l’emprisonnement du journaliste Hanefi ould Deha condamné depuis juillet 2009, au-delà du délai réglementaire de six mois d’après son procès, la démission du gouverneur de la Banque centrale de Mauritanie (BCM) et du président de la Cour suprême " en violation de leur mandat de cinq ans, la justice au service du règlement de compte des bourreaux au pouvoir. Pourtant, la conscience de l’esclavage des Noirs comme motif de tous les droits de viol, violation, tueries, déportations dont les victimes sont les quatre-vingts pour cent de la population mauritanienne, cet aspect-là, au lieu d’être central pour la paix à plus ou moins long terme de la Mauritanie, échappe à la coordination de l’opposition, dans leur analyse politicienne et inconséquente avec la vérité de l’histoire et du présent de la Mauritanie, de l’avenir aussi, analyse en faux avec la vérité des violations les plus outrageantes de droits humains. Plus grave encore, l’opposition qui a légitimité l’installation de l’actuel criminel au pouvoir, ne daigne pas intervenir sur la question de fond du droit des Noirs de disposer des terres historiquement cultivées, et des villages historiquement habités par des Noirs.
NEANT. Tout est rasé chez les Noirs et les esclaves, tout est ruiné ! Plus de village pour les déportés dont le régime a pris soin de poursuivre le rapatriement avec l’accord tripartite qui engage le Sénégal et Haut Commissariat aux Réfugiés, à la date du 27 novembre 2007. Leur village et leur champ étant attribué par ordonnance et par charia à des arabo-berbères ! Quant aux esclaves, ils n’ont pas droit de propriété. L’opposition a mis en péril le pays depuis longtemps qu’elle a validé le coup d’Etat du général, qu’elle prétend combattre. Mais elle risque d’être dépassée par les évènements avec son appel à la démission qui ne palie jamais ses courbettes a intronisé la perpétuité d’une domination esclavagiste beïdane qui n’a jamais été son cheval et dont les effets pervers représentent l’ultime danger de la Mauritanie ! L’élection du général aussi arabo-berbère le 18 juillet 2009, comme nous pouvions nous y attendre, ne fait qu’aggraver la situation des Noirs tenus pour des esclaves nés. Rappelons que bien, après l’indépendance le 28 novembre 1958, les razzias ont continué, jusqu’à ce jour la détention d’esclaves se justifie par le dénuement qui signerait la dépendance de l’esclave par rapport à son maître. Mais si aucune chance n’est donné au Noir dans ce pays pour posséder de son propre chef une entreprise ou un emploi sans la bénédiction d’au arabo-berbère qui supervise son statut d’esclave et d’inférieur, comment peut-on perler de liberté ou de démocratie pendant que le plus grand génocidaire est en passe d’être accueilli en héros depuis son refuge doré au Qatar. Le régime lui prépare une partie chasse et de cueillette comme s’il n’était pas, lui et tant d’autres de ses complices sous le collimateur d’un mandat d’arrêt international, ou de plainte dans les juridiction de la compétence universelle, accusés par leurs victimes de meurtres massifs, de tortures, d’emprisonnements arbitraires, comme l’actuel général au pouvoir de menaces et de pressions indignes sur les militants des droits de l’Homme pour le jugement des génocidaires, tortionnaires, pour l’éradication de l’esclavage et l’apartheid en Mauritanie. Fall Moctar
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