Durant
plus de 25 ans, je dirais même 35 ou 40 ans on essaye de trouver les
voies et moyens qui peuvent nous permettre de libérer les
Mauritaniens d`une Dictature qui les a divisé mais surtout
justifie sa conquête et sa domination à travers l`exclusion,
les restrictions ou préférence fondée sur la race, la couleur,
l’ascendance, les origines nationales ou ethniques et surtout
l`exploitation et le trafic d’êtres humains a majorités des
femmes et des enfants qui sont réduit à un esclavagisme pure et
dure bref : Racismes et esclavagisme. Tous les partis politiques,
Associations, ONG et Mouvements de lutte, même ceux proches du
système et des pouvoirs qui se sont succédés, ont dans leurs
déclarations de politiques général (DPG) condamné l`esclavagisme
et le Racisme ; mais la question que je me suis toujours poses :
Pourquoi parle-t-on d’esclavagisme et de racisme en Mauritanie
après 30 à 40 ans de lutte ? Est-il dû au fait que Chaque
communauté, mouvement ou ethnie c`est réfugie dans un univers
propre a elle-même ? Les Harratines ont voulu se libérer de
l`esclavagisme et les peuhls, soninkés, Wolofs et Bambaras du
racisme ? On sait que l`esclavage est sans doute le premier
système d’exploitation fondé sur l’idée d’inégalité entre
les groupes humains et le racisme quand à lui offre à
l’esclavagisme le moyen le plus facile d’avoir du personnel bon
marché. Pourquoi donc les dissocier et ne pas en faire un seul
combat ? Mokhtar Ould Daddah père de la nation et les Féodalises
de toutes les communautés Mauritaniennes ont instauré sur
la nation une politique d’assimilation progressive basé sur des
réarmements identitaires, ethniques ou la marginalisation voire même
l`exclusion de certaines communautés leur permet de sauvegarder
leurs influences sur les pouvoirs politiques et protéger leur rang
social ; d`où l`esclave reste esclave et les bourgeois et les
Notables sont les maitres des lieux. Depuis l`indépendance de la
Mauritanie jusqu`aux nos jour ; le pouvoir n`a comme interlocuteur
que les Notables, chefs de Villages, Imams, Chefs de Tributs …qui
sont toujours issu des familles Bourgeoises et jamais celle des
Esclaves, Mathioubes, forgerons, Griots, cordonniers ….pourquoi
? Si L'esclave chez les Maures est soumis à un asservissement et
assujettissement avec domination et oppression ; et que l`esclave
Negros-Mauritanien est autorisé à exercer pour leur propre
compte ; un métier ou un commerce, à fonder une famille ; tous les
deux n`ont aucun rang social qui leurs permets de diriger le
village, la ville, ou être des Imams ou demander en mariage le fils
ou la fille d`un Noble. Le féodalisme permet de façon
progressive aux Negros-Mauritaniens de continuer à pratiquer leurs
esclavagismes Modernes dont les piliers n`ont pas changé :
l`injustice, l’inégalité et la discrimination. La nécessité
d’une action concertée et cohérente s’impose à TOUS pour
gommer ces différences en combattant l`esclavagisme et le féodalisme
dans toutes les sociétés Mauritaniennes. J'en conviens que les
plus concernés par le combat contre l’esclavage en Mauritanie sur
le terrain sont surtout les affranchis de l’esclavage et les
esclaves eux-mêmes, qui adoptent divers modes de résistance. Ces
leaders politiques qui combattent jour et nuits le système contre le
racisme et ne sont pas déterminé à combattre le féodalisme
l`autre forme de l`esclavagisme Moderne à leurs portes et sous leurs
yeux ne pourront jamais atteindre leurs Buts sauf s`ils sont
déterminé à lutter contre toutes les formes de survivances.
ABDOULAYE
SY BATON ROUGE, LA
Définition
de féodalisme Etymologie
: du latin feudum, fief.
Le féodalisme est le
système féodal, c'est-à-dire le système politique,
économique et social du Moyen Âge qui était fondé sur la
féodalité. Le pouvoir politique, religieux, judiciaire et
militaire était exercé par une aristocratie foncière qui opprimait
un peuple constitué en majorité de paysans. Le terme « féodalisme »
est plus récent que « féodalité ». L'étude de la
transition de l' « âge féodal » à l' « âge
industriel » a commencé au début du XIXe siècle chez des
historiens comme Augustin Thierry qui fut secrétaire de Saint-Simon.
Ces études inspirèrent des penseurs saint-simoniens, puis
les historiens marxistes. Chez ces derniers, le terme
« féodalisme » est utilisé pour désigner le mode de
production précédant l'économie capitaliste et succédant à
l'esclavagisme. Il est étroitement lié au mode de domination
sociale qui le caractérise.
Lien :
http://www.toupie.org/Dictionnaire/Feodalisme.htm

En
réaction à une note d’information publiée le 16 décembre 2012,
intitulé « la diplomatie du dernier état esclavagiste fait feu de
tout bois », le porte-parole de l’ambassadeur ould zahaf a qui
n’était absolument pas à Genève a, dans un article paru le
lendemain sur le site de Tawary, voulu noyer le poisson dans la
défense du bilan du Président Mohamed Ould Abdel Aziz. Il s’agit
d’une manœuvre dilatoire qui relève de la désinformation. Face
à cette récidive dans la tromperie publique et de grande
mystification, nous tenons à donner les précisions suivantes : 1-
Nous maintenons et confirmons que le siège africain dans cet organe
est occupé, à l'alternat, suivant un ordre alphabétique par chacun
des 13 états africains membres du conseil des droits de l’homme,
comme nous l’indiquions dans notre note d’information. Il n’y a
jamais eu de vote pour choisir le représentant du groupe des états
africain au sein du bureau du Conseil des droits de l’homme. 2-
Il est vrai que le Botswana a cédé sa place à la Mauritanie, ce
qui confirme le principe de la rotation évoqué plus haut. Mais nous
nous sommes informés auprès de nos partenaires sur les
circonstances et le pourquoi du désistement du Botswana au profit de
la Mauritanie. Là, les révélations sont autrement plus graves.
L’ambassadeur a reçu instructions de son Ministre et du Président
pour reconnaître devant son homologue du Botswana que la Mauritanie
avait énormément de problèmes de droits de l’homme et qu’elle
avait besoin de ce poste pour redorer son blason. Si elle n’obtenait
pas ce poste, le niveau de forte contestation politique à
l'intérieur du pays pouvait faire craindre que la situation de la
Mauritanie devienne sous peu comparable à celle du Mali selon
l'ambassadeur. Il aurait même ajouté qu'au nom de la solidarité
africaine, le Botswana qui est un modèle de réussite économique,
social et politique ne doit pas raisonnablement refuser de venir en
aide à la Mauritanie. C’est sur cette base pathétique que le
Botswana, certainement par indulgence, a accepté de céder sa place
à la Mauritanie. Mais encore une fois, il ne s’agit nullement d’un
poste électif ni d’une position couronnant des efforts en matière
de droits de l’homme ni même la consécration de quelques qualités
que ce soit. Au contraire la Mauritanie, par la voix de son
ambassadeur a reconnu ce que nous disions depuis toujours. Ces
éléments d'information sont totalement vérifiables auprès de
toutes les ONG de droits de l'homme à Genève. Si l’accès à ce
poste était conditionné à des exigences en matière de respect des
droits humains, le Botswana qui bénéficie de l’une des meilleures
images de marque sur le continent, ne désisterait pas pour la
Mauritanie. Voilà ce qu’il appelle négociation. 3- Nous ne
manquons pas de patriotisme comme le prétendent certains. Au
contraire ! Tous les succès de la Mauritanie font notre fierté
autant que ses échecs génèrent notre honte. Là, le grand pas dont
parle ould zahaf et son porte-voix, est fait dans la honte. Nous
souhaitons tout simplement que notre pays avance sur le droit chemin
de la respectabilité, de l’honneur, de la fraternité et de la
justice. 4- l’ambassadeur est mal placé pour donner des leçons
de morale à qui que ce soit. Il est mal placé pour parler de
l’exploitation de la misère des plus faibles. Ses détournements à
tour de bras des deniers publics sont trop actuels pour tomber dans
l’oubli. Ce débat a été nécessaire pour clouer le bec
définitivement à l’ambassadeur, Cheikh Ahmed Ould Zahaf un ennemi
juré de la nation et des droits de l’homme. Il a beau rédigé des
articles et les faire signer par des hommes qui sont payés par
l’ambassade de Mauritanie à Genève pour diffuser ces mensonges.
Le président Mohamed Ould Abdel Aziz, s’il est sincère dans sa
lutte contre la gabegie, la mauvaise gestion doit se débarrasser de
cet homme qui est plus nuisible à la fois pour l’image de la
Mauritanie mais aussi pour son gouvernement et la diplomatie
Mauritanienne. Nous nous sommes rendu compte combien la diplomatie
Mauritanienne est en mal à cause notamment des personnalités
encombrantes comme lui. L’opinion nationale et internationale se
pose la question suivante mais qui est Cheikh Ahmed Ould Zahaf,
pourquoi il est hué, dénoncé, contesté autant par ces
compatriotes? La seule compétence qu’on reconnait à cet
ambassadeur controversé, c’est en matière de détournements des
deniers publics et même ça, il le fait avec beaucoup de vulgarité.
Quand il était à l’office du tourisme, il a construit sa maison
directement à partir du budget de l’office. Quand la nommée
Khadijettou Mint Boubou l'a remplacé, elle était étonnée de voir
dans les documents comptables les factures de ciment, de fer, de
sable et coquillage…étonnée, parce qu'elle ne comprenait pas ce
que l’office du tourisme faisait avec tant de béton armé., elle
demande à ses collaborateurs si l’office du tourisme avait des
chantiers en construction. On lui a répondu Non.... Elle demande
alors toute curieuse d’où proviennent ces factures. On lui répond
que c’est Ould zahaf qui faisait construire sa maison à partir du
budget de l’office. Et elle aurait porté l’affaire devant les
tribunaux et le jugement de cette affaire est en attente. Aux
dernières nouvelles, il cherchait un arrangement amiable avec
l'appui discret de Ould Boilil l’actuel ministre de l’intérieur.
Comment voulez-vous qu’on taise cela ? Et le pouvoir attend à ce
qu’un homme pareil défend loyalement son pays depuis la Suisse,
siège de toutes les organisations de défenses des droits de l’homme
? Peuple Mauritanien, on vous martyrise avec du faux et usage de
faux, trop, c’est trop, disons tous ensemble halte…….
ABDOULAYE
SY BATON ROUGE, USA.
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