La Mauritanie, pays charnière entre le monde noir et le Maghreb, bafoue et piétine

toutes les conventions relatives aux droits des citoyens.

 

Le 2 août 2004, un communiqué de SOS esclaves faisait part du cas d’un esclave fuyant ses

maîtres dans le Tiris Zemmour. Il y a des sénateurs,  comme celui de Rosso et de Keur Macene qui

posssédent des esclaves et sont tous issus de la famille émirale du Trarza. Il y a des  maires comme

ceux de Ouenatt Ezbill et Tintane qui en posssédent aussi. Les principales tribus esclavagistes du

Trarza sont les Oulad Bieri, Elilbe, Rhahle, Oulad Demane et Oulad Ahmed Mindmane, Oulad

Deïmane, Tajëkante, Tendgha., Idakmadjik, Idab Lehcene ei Idaouli.

 

Les principales localités où l’esclavage peut être clairement observé sont : Boutlimitt,

Eaguere, Elmeymoune, Ouad Naga, Ajouer, Bousdïrë, Mederdra, Ihsseyatt Irhahle, Hassi

Amar, Hassi Lilayatt, Hassi Boïlil, Rache, Bir Toures, Bareïne, Matta Moulane, Hadar Boubacar

Dans les trois dernières localités, ce sont des soufistes Tijania qui pratiquent le plus l’esclavage.

 

Victimes de leur statut servile avec ses corollaires que sont la pauvreté et l’ignorance, les

Haratine, dans le royaume du colonel alias le tueur, sont considérés comme des citoyens de seconde

zone  et ne sont,  quelque soit leur niveau d’études, considérés.

 

Mai 2004 , l’intendant privé du  Président Ould Bouamatou qui blanchit l’argent et posséde un

groupe de sociétés GBM, MATEL, AGM, COPPRAL, TOTAL Mauritanie , BSA, CGA Nissan, avait

insulté le premier ministre actuel, Sghaïr Ould M’Bareck, en le traitant de cochon.

 

Juin 2004 un hartani Oulad Demane brûlé vif sur la plage par un maure. Un autre tué par un

maure Oulad Bisbaa, au motif qu’il l’avait doublé en circulant sur la route de Rosso. Un autre hartani

de l’ex-premier ministre Cheikh El Alaviye qui gardeait un de ses châteaux sur la route de

Nouadhibou fut tué par des maures au motif qu’il les empêchait d’utiliser son espace pour la course

des chevaux.

Informations Mauritanie